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es ouvriers au sens premier du mot : ceux qui ont
prise
sur les choses et qui « étreignent la réalité rugueuse », comme dit R
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rise de conscience culturelle, j’entends de notre
prise
de mauvaise conscience. C’est aussi qu’il est le premier à définir un
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ans l’effort de l’auteur, s’il l’avait réellement
prise
au sérieux : ce dont la phrase suivante nous permet de douter : « Par
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s « syllabes sacrées », définit la même assurance
prise
au nom de la raison sur l’avenir : « L’Ordre pour base, le Progrès po
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nsi révolution signifiera selon les cas : émeute,
prise
de pouvoir légal, désordre et anarchie, établissement d’une dictature
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urs rapports, avec la culture, au lendemain de la
prise
du pouvoir. Il m’apparaît que ce parallèle met en lumière le mécanism
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ent à jamais incompatibles. Dans les deux cas, la
prise
de pouvoir politique s’effectua à la faveur d’une misère et d’un déso
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ceux qui ont commencé par la revendication et la
prise
du pouvoir, non par l’éducation des masses, qu’ils n’avaient pas le t
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ai forcer mes mains cruelles et joyeuses sur leur
prise
solide, et je le pétrirai selon la loi nouvelle. Advienne ce que Dieu
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s insistance ?) Hors de cet acte, et disjointe sa
prise
, la pensée devient « l’esprit pur », la résistance devient « la matiè
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telle qu’ils la font, — avec moi-même hors de ma
prise
? Ainsi l’éthique récitative des distingués n’était qu’absence et rem
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es de la nature. La vraie révolution n’est pas la
prise
du pouvoir, elle est d’abord l’affirmation d’une nouvelle autorité. I
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auteur l’autorité, ce sera le sens de l’immédiate
prise
de l’esprit. Cependant nous sommes dans le temps, et le temps nous sé
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mains suppose que le penseur rende au langage sa
prise
et son tranchant, sa vertu, son pouvoir d’ordonner et de toucher. La
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ascèse d’incarnation : volonté d’assumer dans une
prise
unique tout ce que notre péché sépare ; méfiance active à l’égard des
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ortée d’imagination, peu importe pourvu que cette
prise
, cette vue, cette image soient pour moi le tu qui questionne, dans l’