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n dit12. Mais lorsqu’on « voit » soudain — quelle
prise
! Et combien j’aime le paysage de cette œuvre, son climat, jusqu’aux
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st que là. Alors il s’agit seulement d’assurer la
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de cette main. C’est l’affaire d’une patience, ou d’une impatience do
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de l’utilité pure, de la « qualité d’être utile »
prise
en soi, qui rejoindrait la gratuité par un détour que maints esprits
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oc et va le remplir au bord de la chaussée, à une
prise
d’eau. Il sifflote, il n’est pas pressé. Des enfants courent derrière
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es jours plus tard, à peu près guéri d’une angine
prise
en plein été très chaud, je vais voir Jean Paulhan qui m’assure que r
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l’instant présent, dans la décision immédiate et
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au nom de l’Absolu, non d’une Histoire hypothétique, que se joue le s
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iers. L’étatisme, au sens fort du terme, c’est la
prise
au sérieux systématique, la réalisation systématique des rêveries plu
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ncore qu’on puisse détacher telle ou telle mesure
prise
par le régime pour l’admirer isolément, ou pour essayer de l’imiter.
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tifascistes : « Faire le jeu d’Hitler » Qu’une
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de parti efficace suppose nécessairement et avant tout la connaissanc
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a démarche intime, dans son élan premier, dans sa
prise
sur le réel et dans sa volonté de le transformer, donc finalement de
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er des démarches diplomatiques. À la veille de la
prise
de Prague, les ambassadeurs à Berlin s’informaient gravement des inte
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ur, sous les eucalyptus géants de la Armonia, V…,
prise
d’un accès d’enthousiasme, m’a broyé le bras pour me forcer à crier a
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e, l’air fermé. Chacun de ces messieurs opère une
prise
au hasard dans mes manuscrits. Puis ils s’éloignent, tenant mes pages
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n moi la part du diable, celle qu’il a sans doute
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à mon ouvrage. Idée bizarre : si j’ai si vite bouclé ce livre, c’étai
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paru de lui qu’une seule photo, encore était-elle
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de dos. (Mais ce trait justement le révélait.) Penché à un balcon d’h