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Nuit du 4 août 1789, les députés ayant confondu «
privilèges
» et « libertés » ont renoncé, sans nulle compétence pour ce faire, à
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des voix au parti socialiste » ou de défendre les
privilèges
et le confort des riches. (C’est aussi ce qu’en pense le tiers-monde.
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it d’orthodoxie politico-policière qui demeure le
privilège
peu enviable du xxe siècle. Un tel terrorisme, paralysant l’esprit d
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é papale ou impériale selon les pays ; perdra ses
privilèges
extraterritoriaux ; perdra ses conditions d’universalité, et formera
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nciales, sous le prétexte qu’elles s’appelaient «
privilèges
» ; de tuer tout civisme qui puisse s’opposer aux décrets de la capit
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rce de toute autorité ». Ses droits ne sont que «
privilèges
» et révocables à tout instant par le souverain, lequel n’est pas obl