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ais rien n’était résolu. Me voici devant quelques
problèmes
dont je sais qu’il est absolument vain de prétendre les résoudre, mai
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e d’avoir résolus : c’est ce qui s’appelle vivre.
Problème
de Dieu, à la base. J’aurai garde de m’y perdre au début d’une recher
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ertes, il ne soulève directement aucun des grands
problèmes
de l’heure. La violence même qui sourd dans son être intime l’en empê
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éserve des états d’incertitude douloureux, où ces
problèmes
viennent se poser à l’esprit, profitant de son désaccord avec la vie.
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sans pente ni grandeur ; (Je mets au concours ce
problème
, d’ailleurs insoluble : « Peut-on discerner avec certitude, après lec
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ésirent également donner une solution décisive au
problème
de l’homme ; ils manquent également de cette énergie créatrice et cri
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e et critique qui leur permettrait d’envisager ce
problème
dans toute son ampleur et sa force. » Ainsi Beausire nous montre un B
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eilles se déboucher, nous gagnons l’altitude. Les
problèmes
qu’il se pose sont le meilleur de l’homme — à condition qu’il les sur
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mouvement naturel nous ramène au centre des seuls
problèmes
qui ne soient pas insignifiants, voilà qui suffira peut-être à le jus