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se devant la conscience de « l’honnête homme » un
problème
que toutes ses convictions inconscientes tendent à faire apparaître c
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l’on sait que la bourgeoisie cultive ce genre de
problèmes
avec une prédilection à vrai dire bien compréhensible, car cela mène
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ons officielles. M. Durand-Dupont, troublé par le
problème
de la violence, commence par le déclarer insoluble, puis se résout à
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e carence aiguë de la jeunesse. C’est pourquoi le
problème
de son destin se confond avec le problème de notre génération. La séc
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quoi le problème de son destin se confond avec le
problème
de notre génération. La sécurité ne sera jamais garantie par la signa
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rnier stade de décomposition spirituelle. Non, le
problème
de la jeunesse française, le problème de notre révolution est ailleur
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le. Non, le problème de la jeunesse française, le
problème
de notre révolution est ailleurs. Il est précis. Il se pose en termes
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ose en termes historiques bien définis : c’est le
problème
de la destruction des tyrannies étatistes, au nom des droits de la pe
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d’un pays. Ils trouveront enfin à qui parler. Le
problème
de notre attitude devant la guerre est subordonné à celui de notre ré
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ine ? C’est d’abord une volonté de considérer les
problèmes
économiques et sociaux dans leur totalité ; c’est aussi une volonté c
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nne, où nous les reposons. Prenons par exemple le
problème
du « minimum de vie matérielle » destiné à assurer la liberté de l’ho
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e) ? En présence de ces faits, nous disons que le
problème
du minimum de vie matérielle ne prend son sens que dans le plan de la
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le voir, le plan de la liberté créatrice ; que ce
problème
ne peut être défini correctement qu’à partir de la personne ; que seu
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isait observer que notre époque dominée par les «
problèmes
économiques », comme on dit, ne possède pas d’économistes. Il entenda
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ment des idées neuves — une nouvelle position des
problèmes
— mais aussi quelques solutions fort importantes. Indiquons simplemen
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rrait montrer facilement, à propos de maint autre
problème
dont traite cet ouvrage (travail et chômage, machinisme, syndicats, é
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e. Il a surtout le grand mérite d’aller droit aux
problèmes
réels que pose ce livre, sur le plan philosophique. 14. Mais le conc
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re reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et le
problème
des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine et à la fin, en e
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e l’État, paraissent bien inactuels en regard des
problèmes
économiques qui nous pressent. Un chrétien a-t-il le droit de rêver ?
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tivité auprès des ouvriers ne pose-t-elle pas des
problèmes
de doctrine économique et sociale qu’on ne saurait esquiver sans manq
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e nouveau affirment la nécessité de s’attaquer au
problème
de l’homme même dans la civilisation mécanique. Ainsi pour être moins
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puis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plon). Sur les
problèmes
généraux du temps considérés dans la perspective de l’ON. Voir Daniel
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nes seulement que pourra se résoudre l’angoissant
problème
des cités. Mais il faudrait d’abord transformer la province et la ren
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ire ne sera ordre qu’à ce prix. C’est là son vrai
problème
. m. « Jeunesse déracinée », La Revue du xxe siècle, Paris, n° 1,