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ur — nous dit Kierkegaard — se rapporte à ce seul
problème
: comment devenir chrétien ». Car on n’est pas chrétien, et même on n
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e peut pas l’être, mais il faut le devenir. Et le
problème
, alors, devient celui de l’acte, c’est-à-dire de la création d’une po
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Ainsi nos mots se déforment entre nos mains, nos
problèmes
se déforment au hasard, chacun joue sa partie comme il le peut, sans
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gative. Car, en vérité, il n’y a pas pour nous de
problème
de l’acte mais il y a problème de ce qui s’oppose à l’acte. (En d’aut
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a pas pour nous de problème de l’acte mais il y a
problème
de ce qui s’oppose à l’acte. (En d’autres termes, il n’y a pas de pro
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se à l’acte. (En d’autres termes, il n’y a pas de
problème
de la personne, mais bien des « choses », de l’impersonnel.) L’acte,
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s données susceptibles de fournir la matière d’un
problème
, données qui sont par là même objectives, et celles sur lesquelles il
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elles il faut que l’esprit s’appuie pour poser un
problème
quelconque ». L’acte, tel que nous l’entendons, est évidemment une do
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dirions en d’autres termes : l’acte n’est pas un
problème
, mais une donnée initiale, le seul donné qui se donne à soi-même. Or,
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épistémologique que pour qui refuse d’aborder le
problème
de la connaissance à partir de l’acte. Mais, au contraire, la science
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resse n’est plus à faire. Sa réforme pose tant de
problèmes
et entraîne de telles incidences (les dangers d’une information d’Éta
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ants ; soit par des études plus générales sur les
problèmes
financiers, professionnels, législatifs, que pose la réforme de la pr
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s à exprimer. Je réponds : écrivons pour poser ce
problème
tout d’abord. Écrivons pour montrer qu’il n’est pas de problème polit
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d’abord. Écrivons pour montrer qu’il n’est pas de
problème
politique plus urgent que celui des mots ; et qu’il n’est pas de prob
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urgent que celui des mots ; et qu’il n’est pas de
problème
culturel qui ne dépende de la politique. Cela revient à écrire, si l’
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me, mais une morale, un art et une métaphysique !
Problème
de la politique actuelle : sera-t-elle l’affaire du meilleur statisti
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mes. — Hier soir le sujet de l’entretien était le
problème
de l’autorité. La discussion dévia bientôt vers le fascisme. Un beau
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expliquer, le plus simplement que je pus, que le
problème
fasciste est un problème avant tout national ; qu’il s’est posé en It
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ement que je pus, que le problème fasciste est un
problème
avant tout national ; qu’il s’est posé en Italie dans des termes part
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mais d’essayer de résoudre « à la française » le
problème
de l’autorité, tel que le posent cinquante années de démocratie parle
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a France est un pays comblé qui a résolu tous les
problèmes
économiques urgents. La preuve en est fournie par ces phrases cueilli
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e, dans le passé, le présent ou l’avenir53. Le
problème
des fins dernières : Royaume de Dieu ou paradis terrestre ? Nous a
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jeunesse universitaire chinoise et japonaise, le
problème
se posait avec urgence, aux environs de 1933, de réunir dans un même
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and beaucoup d’hommes seront changés, beaucoup de
problèmes
se poseront autrement… » Je veux les croire. Ils courent au plus pres
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toutes les nuances qu’on imagine, nous amènent au
problème
central que pose à la pensée d’un protestant, et particulièrement d’u
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t homme dès avant sa naissance et ses œuvres ? Ce
problème
n’est pas gratuit : il touche au cœur de la foi réformée. Or c’est lu
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d’utiliser pour débrouiller et supprimer les faux
problèmes
où la Diatribe voulait l’embarrasser31. Ensuite, ce refus total, ou m
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qu’invoque notre révolte… Réalité radicale du
problème
Dans l’Église, une fois acceptés le Credo et son fondement, qui es
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moyens termes où voulait se complaire Érasme. Le
problème
du salut est un problème de vie ou de mort. Or il est seul en cause p
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se complaire Érasme. Le problème du salut est un
problème
de vie ou de mort. Or il est seul en cause pour le théologien. Et tou
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à une coïncidence. En vérité, c’est bien du même
problème
qu’il s’agit. Le seul problème, dès qu’on en vient à une épreuve radi
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c’est bien du même problème qu’il s’agit. Le seul
problème
, dès qu’on en vient à une épreuve radicale de la vie. Au « tu dois »
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explicatif sur mon œuvre — se rapporte à ce seul
problème
: « comment peut-on devenir chrétien ». Car on ne naît pas chrétien,
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e matérielle pour pouvoir réfléchir, se poser des
problèmes
nouveaux, créer… D’où résulterait qu’un certain degré de pauvreté ou