1 1938, Articles divers (1938-1940). « Comment libérer l’État de la tyrannie de l’Argent ? » (10 juin 1938)
1 me on ne peut supprimer ni l’État ni l’argent, le problème que pose l’homme est celui-ci : remettre l’État et l’argent à leur pl
2 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
2 christianisme » (20 novembre 1938)h Tous les problèmes se posent différemment pour un croyant et pour un incroyant. Non pas
3 ’il crée. Je suis d’accord avec Mauriac : le seul problème est de « purifier la source ». Tout le reste est apologétique, c’est-
4 e : — et à partir de là ne se posent plus que des problèmes d’ordre technique. Nous autres écrivains de la Réforme, nous aimerion
3 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse de Denis de Rougemont, lauréat du prix Rambert 1938 (novembre 1938)
5 ans le Journal , c’est celui que je nommais le «  problème des gens ». Problème des relations des hommes entre eux ; des relatio
6 st celui que je nommais le « problème des gens ». Problème des relations des hommes entre eux ; des relations de l’écrivain avec
7 ntre un auteur et son public. Cet aspect de mon «  problème des gens », vous l’avez résolu d’une manière que, pour ma part, je ne
4 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
8 lutte commence là. » Et je crois toujours que le problème est là : c’est celui d’une renaissance spirituelle qui ne peut se fai
5 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
9 i consiste à supprimer brutalement les données du problème , est d’ailleurs la conséquence nécessaire de notre anarchie morale. E
6 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
10 du sérieux de ceux de sa race, qui s’attelle aux problèmes avec conviction, pour ne les lâcher qu’à la fin du sillon, possède en
11 beaucoup d’autres. La crise du mariage est un des problèmes les plus brûlants de la société d’aujourd’hui, et c’est surtout à cet
12 voici qui reprend. Au début, je ne songeais qu’au problème individuel de l’amour et du mariage. C’est en creusant les conception
13 sociologie, que j’en suis arrivé à envisager les problèmes collectifs. Tristan symbolise la manière dont le xiie siècle considé
14 uant à savoir d’où vient cette dernière, c’est un problème sur lequel les érudits eux-mêmes sont en désaccord, au point de renon
15 livre, en partant des mystiques. Je traiterai ce problème plus à fond dans un second volume, que je prépare actuellement. Pour
16 t L’Amour et l’Occident, vous avez réhabilité les problèmes de la passion qui n’étaient pas jusqu’à présent objet de littérature
17 , en effet, qu’on en ait parlé en France comme de problèmes sérieux, acquiesce l’écrivain. Mais il en va différemment dans d’autr
18 n content de voir examiner impartialement « son » problème . Comment en êtes-vous venu à envisager le parallélisme entre la guerr
7 1939, Articles divers (1938-1940). Pourquoi nous sommes là (décembre 1939)
19 ts de l’Europe n’ont pas su résoudre autrement le problème des minorités, allemandes, tchèques, slovaques ou ukrainiennes. Et po
8 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
20 nous font une gloire peut-être intempestive ? Le problème est, je crois, d’autant plus actuel que les menaces qui pèsent aujour
21 voir entrevu la possibilité ou l’intérêt d’un tel problème . Mais ils ne parlent pas non plus de l’individu ou de la collectivité
22 une autorité immédiate, Strasbourg et Genève. Le problème ne se pose même pas. Les Églises locales s’organiseront en fédération
23 éoccupation de les éduquer. Et vous savez que les problèmes d’éducation furent dès le début le grand souci des réformés. Calvin f
9 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
24 chef ? Je ne sais ; et m’en tiendrai donc au seul problème du théâtre actuel. Nous voyons naître l’ère des masses sur les ruines
25 qu’épisodiques. (C’est la solution eschylienne du problème tout à fait analogue qui se posait lors des Jeux olympiques.) Or, il
10 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
26 côté ici l’aspect politique — au sens étroit — du problème . J’estime que le fédéralisme est tout d’abord une réalité morale, et
11 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
27 lui donnera-t-il une efficacité plus pénétrante ? Problème d’une portée générale, dans un monde où s’installe, peu à peu, le rég
28 épend de la solution qui sera donnée en fait à ce problème , au cours des mois ou des années qui viennent. Paris, 21 avril 1939 U
29 phénomène : tout se transpose dans mon esprit en problèmes de langage. Il est sans cesse question d’achat et de vente, et je rem
12 1940, Articles divers (1938-1940). Mission spéciale (1940)
30 ts de l’Europe n’ont pas pu résoudre autrement le problème des minorités. Or ce problème n’existe plus chez nous ; notre fédéral
31 soudre autrement le problème des minorités. Or ce problème n’existe plus chez nous ; notre fédéralisme séculaire l’a résolu par