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me on ne peut supprimer ni l’État ni l’argent, le
problème
que pose l’homme est celui-ci : remettre l’État et l’argent à leur pl
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christianisme » (20 novembre 1938)h Tous les
problèmes
se posent différemment pour un croyant et pour un incroyant. Non pas
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’il crée. Je suis d’accord avec Mauriac : le seul
problème
est de « purifier la source ». Tout le reste est apologétique, c’est-
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e : — et à partir de là ne se posent plus que des
problèmes
d’ordre technique. Nous autres écrivains de la Réforme, nous aimerion
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ans le Journal , c’est celui que je nommais le «
problème
des gens ». Problème des relations des hommes entre eux ; des relatio
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st celui que je nommais le « problème des gens ».
Problème
des relations des hommes entre eux ; des relations de l’écrivain avec
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ntre un auteur et son public. Cet aspect de mon «
problème
des gens », vous l’avez résolu d’une manière que, pour ma part, je ne
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lutte commence là. » Et je crois toujours que le
problème
est là : c’est celui d’une renaissance spirituelle qui ne peut se fai
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i consiste à supprimer brutalement les données du
problème
, est d’ailleurs la conséquence nécessaire de notre anarchie morale. E
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du sérieux de ceux de sa race, qui s’attelle aux
problèmes
avec conviction, pour ne les lâcher qu’à la fin du sillon, possède en
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beaucoup d’autres. La crise du mariage est un des
problèmes
les plus brûlants de la société d’aujourd’hui, et c’est surtout à cet
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voici qui reprend. Au début, je ne songeais qu’au
problème
individuel de l’amour et du mariage. C’est en creusant les conception
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sociologie, que j’en suis arrivé à envisager les
problèmes
collectifs. Tristan symbolise la manière dont le xiie siècle considé
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uant à savoir d’où vient cette dernière, c’est un
problème
sur lequel les érudits eux-mêmes sont en désaccord, au point de renon
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livre, en partant des mystiques. Je traiterai ce
problème
plus à fond dans un second volume, que je prépare actuellement. Pour
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t L’Amour et l’Occident, vous avez réhabilité les
problèmes
de la passion qui n’étaient pas jusqu’à présent objet de littérature
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, en effet, qu’on en ait parlé en France comme de
problèmes
sérieux, acquiesce l’écrivain. Mais il en va différemment dans d’autr
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n content de voir examiner impartialement « son »
problème
. Comment en êtes-vous venu à envisager le parallélisme entre la guerr
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ts de l’Europe n’ont pas su résoudre autrement le
problème
des minorités, allemandes, tchèques, slovaques ou ukrainiennes. Et po
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nous font une gloire peut-être intempestive ? Le
problème
est, je crois, d’autant plus actuel que les menaces qui pèsent aujour
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voir entrevu la possibilité ou l’intérêt d’un tel
problème
. Mais ils ne parlent pas non plus de l’individu ou de la collectivité
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une autorité immédiate, Strasbourg et Genève. Le
problème
ne se pose même pas. Les Églises locales s’organiseront en fédération
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éoccupation de les éduquer. Et vous savez que les
problèmes
d’éducation furent dès le début le grand souci des réformés. Calvin f
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chef ? Je ne sais ; et m’en tiendrai donc au seul
problème
du théâtre actuel. Nous voyons naître l’ère des masses sur les ruines
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qu’épisodiques. (C’est la solution eschylienne du
problème
tout à fait analogue qui se posait lors des Jeux olympiques.) Or, il
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côté ici l’aspect politique — au sens étroit — du
problème
. J’estime que le fédéralisme est tout d’abord une réalité morale, et
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lui donnera-t-il une efficacité plus pénétrante ?
Problème
d’une portée générale, dans un monde où s’installe, peu à peu, le rég
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épend de la solution qui sera donnée en fait à ce
problème
, au cours des mois ou des années qui viennent. Paris, 21 avril 1939 U
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phénomène : tout se transpose dans mon esprit en
problèmes
de langage. Il est sans cesse question d’achat et de vente, et je rem
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ts de l’Europe n’ont pas pu résoudre autrement le
problème
des minorités. Or ce problème n’existe plus chez nous ; notre fédéral
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soudre autrement le problème des minorités. Or ce
problème
n’existe plus chez nous ; notre fédéralisme séculaire l’a résolu par