1 est l’un des pays qui a le mieux résolu l’urgent problème de la défense de la démocratie, sans toutefois tomber dans une mobili

2 r les causes dans nous-mêmes11. Mais ceci pose un problème nouveau : le problème de la religion. 3. Il faut une religion pour le

3 -mêmes11. Mais ceci pose un problème nouveau : le problème de la religion. 3. Il faut une religion pour le peuple. Entendons : p

4 rofonde : révolution dans la manière de poser les problèmes , avant de prétendre leur donner telle ou telle solution immédiate, ut

5 n immédiate, utopique ou opportuniste. Prenons le problème du prolétariat. Le groupe de l’Ordre nouveau proposa l’institution d’

6 ’ait pu y entrer ni en sortir, et qui contient le problème sous forme de cadavre. Parfois, ce n’est qu’une chambre4. Toutes ces

7 avion. Ce n’est rien de traduire une langue : les problèmes nationaux restent intraduisibles pour qui ne peut y aller voir et sen

8 r, encore moins tout voir et tout comprendre. Les problèmes les plus angoissants de nos compagnons de planète restent pour nous t

9 Planète, non moins réels, guère moins accablés de problèmes . Mais je ne cherche pas à m’en tirer par une réplique, même de bon se

10 ays comme un nouveau costume. Et je me dis que le problème est mal posé. Il ne s’agit ni de partir ni de rester, au sens pathéti

11 sont pas non plus, apparemment, puisqu’on pose le problème . Supposez que nous soyons libres de circuler à notre guise. Je répond

12 le ne régnait pas sur le monde d’après-guerre, le problème partir ou rester se résoudrait en termes simples : on verrait vite qu

13 ent tardif de la démence nationaliste dénature le problème humain. Lançons une campagne mondiale pour la suppression des visas,

14 uissance. Cela change toutes les perspectives. Le problème France-Allemagne n’a aujourd’hui plus grande importance ; il a cédé l

15 ’hui plus grande importance ; il a cédé le pas au problème Amérique-URSS. Et que pensent les Américains des Russes ? L’opinion e

16 avion. Ce n’est rien de traduire une langue : les problèmes nationaux restent intraduisibles pour qui ne peut y aller voir et sen

17 savoir, encore moins tout voir et comprendre. Les problèmes les plus angoissants de nos compagnons de planète restent pour nous t

18 ur le gouvernement mondial (4 juin 1946)x I. Problème curieux que pose le gouvernement mondial Vous me dites que ce n’es