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d Manley Hopkins. Mais il ne me paraît pas que le
problème
dans son ensemble ait été clairement posé ou étudié, ni par les docte
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littérature, les atmosphères qu’elles créent, les
problèmes
qu’elles envisagent, les valeurs morales qu’elles tiennent pour allan
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mour l’attitude de la jeune Amérique vis-à-vis du
problème
des sexes. Si vous tenez entre vos mains ce texte, comme un grapholog
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res du soir se groupent autour d’un verre et d’un
problème
les écrivains, les jeunes professeurs, les logiciens et les théologie
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bsorba sans le regarder, comme on résout un petit
problème
de logique pure. Il portait une mouche au menton. Le second était ivr
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forces dans le monde qu’un combat de coqs avec le
problème
de la bombe. Et tout cela n’est que trop naturel. Il est parfaitement
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ci même, pour éclairer l’opinion publique sur les
problèmes
que pose la bombe. Cet homme se sent-il responsable de la menace d’Ap
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t quelques définitions. Il est vain de parler des
problèmes
politiques, si l’on ne s’est pas entendu d’abord sur une certaine idé
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ième principe. — Le fédéralisme ne connaît pas de
problème
des minorités. On objectera que le totalitarisme, lui aussi, supprim
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tera que le totalitarisme, lui aussi, supprime ce
problème
: mais c’est en supprimant les minorités qui le posaient. Il y a tota
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l’idéologie majoritaire, nous voici tout près des
problèmes
que pose la « culture des masses » en Russie comme en Amérique. Un co
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ur [Réponse à une enquête] (novembre 1947)e Le
problème
me paraît capital, mais son énoncé sur plus d’un point critiquable ou
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ment inévitable3, que réside la lourde réalité du
problème
que vous posez. Je ne me sens pas capable de le résoudre en quelques
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artielle, dans L’Amour et l’Occident .) Quant au
problème
sexuel, c’est une tout autre affaire. La liberté dans la sexualité, n
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nce de la liberté sexuelle parmi nous qui pose un
problème
sérieux. Si l’on estime que l’état présent de nos mœurs est satisfais
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de religions sclérosés dans le nationalisme et le
problème
des minorités. Et surtout il peut dépasser l’opposition chaque jour
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eille en moi des réactions humaines — à propos du
problème
des Noirs en Amérique — qu’un article documenté du même auteur ne fer
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e chez les romanciers anglais.) Ou bien encore le
problème
noir ? Ou simplement la description d’une petite ville pauvre du Sud
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puis le Moyen Âge, on avait oublié qu’il y eût un
problème
juif. Tout se passe comme si l’écrasement du foyer même de ce mal inf
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s, si la guerre atomique éclate, il n’y a plus de
problème
de l’Europe, et d’une façon plus générale, il n’y a peut-être plus de
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e façon plus générale, il n’y a peut-être plus de
problème
de l’ici-bas, mais seulement du jugement dernier — et je n’en dirai r
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Rougemont s’est penché, dès sa maturité, sur les
problèmes
politiques de notre temps. Auteur de plusieurs ouvrages politico-phil
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aux États-Unis, c’est entretenir les lecteurs des
problèmes
d’aujourd’hui : les noirs, les ouvriers, comme hier la prohibition. V
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d, à tout esprit de système ensuite. Il ignore le
problème
des minorités (car ce qui compte pour lui, c’est la qualité, et non l