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isième principe. Le fédéralisme ne connaît pas de
problème
des minorités. On objectera que le totalitarisme, lui aussi, supprime
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tera que le totalitarisme, lui aussi, supprime ce
problème
: mais c’est en supprimant les minorités qui le posaient. Il y a tota
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e historique et culturel qu’est l’Europe. Tout le
problème
est d’ordonner, subordonner, articuler ces moyens collectifs à ces bu
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au sein d’un ensemble plus vaste. Ainsi posé, le
problème
d’une organisation fédérative de l’Europe se ramène à la recherche d’
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0. Elle ne saurait s’expliquer qu’en fonction des
problèmes
qui se posaient au départ de la construction de l’Europe. Ouvrons don
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x et les États, entre le corps et les organes. Le
problème
le plus épineux est celui de la souveraineté : faut-il exiger des Éta
7
n arrive jamais à une fédération ? Ainsi posé, le
problème
est insoluble. D’une part nos grands États prennent prétexte de leur
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peuple et des cantons, ces articles ont résolu le
problème
à la satisfaction générale depuis cent-quinze ans. On peut les qualif
9
Libération des dynamismes régionaux Un second
problème
fondamental semble bien devoir se poser à l’Europe une fois fédérée.
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une ampleur croissante ne vont pas sans poser des
problèmes
très ardus d’aménagement du territoire européen. Ils requièrent des s
11
re comme moyen d’imposer sa politique commune. Le
problème
des États neutres, adhérant à la fédération, se trouve ainsi résolu,
12
s deux premières illustrations. D’autre part, les
problèmes
fondamentaux soulevés par le contact des traditions différentes de l’
13
s missions des États membres, chaque fois que les
problèmes
à traiter ou les conflits à résoudre dépassent les capacités national
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er dans le sens d’une solution fédéraliste de nos
problèmes
. 1. Le fédéralisme est une forme de pensée politique spécifiquement e
15
ts souverains, — fédération ou confédération. Ces
problèmes
deviennent chaque année plus concrets, soit qu’ils se posent en terme
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histoires, même les couples heureux. Ils ont des
problèmes
, des déceptions, des inquiétudes… Est-ce inévitable ? Non, affirme De
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is à Genève, il y a trois ans pour discuter de ce
problème
dans le cadre du Centre européen de la culture. À cette réunion, il a
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faut reconnaître que l’automation pose de grands
problèmes
, dans le domaine social, notamment. Mais nous n’en sommes qu’au premi
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ts entre le fédéralisme et la culture, et sur les
problèmes
que nous pose la vie culturelle de la Suisse romande en particulier.
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u’il est lié à la langue, laquelle ne pose pas de
problèmes
pour le savant, l’architecte ou le musicien) ont été nos meilleurs Eu
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u’il est lié à la langue, laquelle ne pose pas de
problèmes
pour le savant, l’architecte ou le musicien) ont été nos meilleurs Eu
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rer. Elle est moins un acquis à transmettre qu’un
problème
à résoudre. Est-ce à dire qu’il faille en laisser le soin au seul réa
23
emier chef, elle implique en réalité, quantité de
problèmes
moraux, juridiques, historiques, philosophiques, dont il faut bien re
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r les conditions politiques de toute l’Europe. Le
problème
de l’union politique se trouve donc posé, inéluctablement, à tous nos
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, c’est à ce niveau que la discussion générale du
problème
dans la presse, les partis, les parlements, les congrès et les déclar
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e, traduit non seulement l’ignorance courante des
problèmes
ou l’inévitable manque d’information de l’opinion, mais peut-être sur
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oriques, ni aux données actuelles et concrètes du
problème
à résoudre. Il importe toutefois de la mentionner, ne fût-ce qu’à tit
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s mêmes. Cette solution pose un certain nombre de
problèmes
qui pourraient et devraient faire l’objet de recherches, dont je sugg
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précédents travaux à étudier certains aspects du
problème
fédéraliste, aspects complémentaires, qui n’épuisent pas le sujet, bi
30
t les répercussions de l’intégration, abordera le
problème
de la manière la plus concrète par une comparaison des marchés avant
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e intégration progressive à l’échelle européenne.
Problème
préfédéraliste, à parler rigoureusement, mais préalable nécessaire, e
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Enfin, je me propose, pour ma part, d’aborder le
problème
sur le plan de l’histoire des idées, en traitant des aspects fédérali
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ce point, un autre aspect non moins important du
problème
resterait posé hic et nunc : celui de notre responsabilité européenne
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plus naïves, et qui ne portent pas sur tel ou tel
problème
précis que se posent les techniciens, mais sur le phénomène technique
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ue notre technique, qui a créé sans le vouloir ce
problème
gigantesque, branché sur des passions fondamentales comme la faim, le
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permettre de la surmonter. (Ce sont là d’énormes
problèmes
, qu’une conférence prochaine, à Bâle, sur le thème « L’Europe et le m
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ques » pour trancher en dernier ressort de grands
problèmes
qui appelleraient en réalité des décisions politiques ou morales, tan
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fonctionnement. Mais surtout, on ne dit rien des
problèmes
vivants et réels qui se posent à la cité et à l’État, et que le citoy
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savoir quelque chose, ne compte pas au regard des
problèmes
réels — ceux qu’il ne s’agit pas de réciter par cœur mais de comprend
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ous les degrés) consiste dans la connaissance des
problèmes
réels de la cité, dans l’apprentissage des moyens de participer à la
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effective : commune, région, nation, Europe…) Les
problèmes
vivants et réels de l’Europe, telle qu’elle est aujourd’hui désunie e
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ourires officiels, de vœux pieux et jumelés. Ces
problèmes
se révèlent au contraire dans leurs vraies dimensions et leur urgence
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ée par sa diversité : Ou encore : — connaître nos
problèmes
communs, l’un des plus réels étant que nous sommes tous différents, e
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sommes tous différents, et que nous y tenons ; b)
Problèmes
économiques, en tant qu’ils relèvent de l’initiative privée, de la co
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de conventions passées à l’échelle mondiale ; c)
Problèmes
sociaux, démographiques et culturels, en tant qu’ils relèvent de la p
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sibiliser l’esprit des jeunes aux réalités et aux
problèmes
civiques de la communauté européenne, et cela, à la faveur d’exemples
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lisé aux réalités de l’Europe encore désunie, aux
problèmes
et aux possibilités de son union prochaine. Dire que tout dépend de l
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oment pour l’opinion publique de découvrir que le
problème
de l’union ou de la fédération, qui est essentiellement politique, n’
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ogues et des économistes à leur suite ont pris le
problème
à l’envers : soucieux de s’appuyer sur le réel, ils ont voulu partir
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ur un autre plan que celui-là, précisément, où le
problème
se révèle insoluble. Il faut se fonder sur ce qui est destiné à deven
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érale. Pour essayer de faire sentir le concret du
problème
tel que je l’ai découvert, voici un exemple vécu. Il y a quelques ann
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à Bruxelles un important groupe de travail sur ce
problème
, mais encore dans les milieux dirigeants du pays le plus centralisé d
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intéresser l’ensemble de la population à certains
problèmes
assez difficiles — comme ceux dont nous parlons ce soir, par exemple.
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rché commun notamment, enfin par l’existence d’un
problème
chaque année plus aigu, celui du sous-développement de certaines régi
55
s une participation réelle à la vie politique. Le
problème
du petit État dans le monde des grands (titre de la série dans laquel
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elle s’inscrit ma conférence), c’est en vérité le
problème
de tous les États du monde, sauf trois, c’est-à-dire d’environ cent-t
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is d’Europe sur les grandes nations étatistes. Le
problème
de l’union de l’Europe à partir des États-nations paraissant insolubl
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n renoncer à l’union et alors il n’y aura plus de
problème
, ou bien modifier les données mêmes du problème, c’est-à-dire cherche
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e problème, ou bien modifier les données mêmes du
problème
, c’est-à-dire chercher à fonder l’union sur autre chose que les États
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ose que les États-nations. Renoncer à résoudre le
problème
de l’union, c’est faire, en somme, ce que l’on fait actuellement, c’e
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us profitables. Mais changer les données mêmes du
problème
de l’union pour le rendre soluble, c’est d’abord accepter de remettre
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ur un autre plan que celui-là, précisément, où le
problème
se révèle insoluble. Il faut se fonder sur ce qui est destiné à deven
63
dérale. Pour tenter de faire sentir le concret du
problème
tel que je l’ai découvert, voici un exemple vécu. Il y a quelques ann
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ibliographie des ouvrages consacrés en France aux
problèmes
de la région moderne comporte déjà une quarantaine de volumes, et une
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ements de ces pays à étudier très sérieusement le
problème
de la régionalisation du territoire. On s’est aperçu que ce sous-déve
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plus en plus une méthode de résolution de chaque
problème
selon ses dimensions et à son niveau. Et à cet égard, les sociologues
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les belles régions de France sont dilapidées. Le
problème
n’est pas particulier à Ferney-Voltaire. Ce qui me frappe, c’est l’ex
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es rendre sensibles à la beauté. C’est un immense
problème
d’éducation qui doit se traiter au niveau des écoles. Mais des usines
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lancs et des enfants du premier lit : ça pose des
problèmes
(voir Elle n° 1216) mais on ne fait pas pour autant un remariage de «
70
gemont a accepté de faire pour vous le tour de ce
problème
de notre époque qui a été aussi son problème à lui ; Denis de Rougemo
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e ce problème de notre époque qui a été aussi son
problème
à lui ; Denis de Rougemont n’est pas seulement l’écrivain qui a le mi
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vrai couple. » Le remariage est non seulement un
problème
d’actualité mais un problème d’avenir. C’est une conséquence du divor
73
est non seulement un problème d’actualité mais un
problème
d’avenir. C’est une conséquence du divorce plus fréquent mais aussi d
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enne du mariage : chacun sait désormais qu’il y a
problème
et qu’on peut en parler, qu’il faut même en parler librement et série
75
d la fièvre est retombée, la réalité est là : les
problèmes
inéluctables que posent les caractères et les tempéraments. On pense
76
ssir leur vie à deux —, vous explique comment les
problèmes
du deuxième mariage éclairent la grande crise du mariage moderne. »
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! Vous risquez de tout saboter en compliquant le
problème
avec votre utopie ! On ne peut passer sans transition des nations sou
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es projets d’Europe fédérale, dès qu’on aborde le
problème
de leur structure politique. C’est donc ce dernier groupe d’arguments
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ante unité, ou au moins à l’uniformité ? C’est un
problème
d’éducation ou de recyclage qui va nous prendre au moins douze ans, s
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out de suite. Il nous faut apprendre à penser par
problèmes
et non par nations. Devant un problème donné (urbanisme, participatio
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enser par problèmes et non par nations. Devant un
problème
donné (urbanisme, participation civique, Université, par exemple), il
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nisme : il serait facile de multiplier ce type de
problèmes
à résoudre au niveau communal, régional, national-fédéral et continen
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e. Il y a donc une ressemblance profonde entre le
problème
de l’homme et de la femme dans le mariage, et celui des autonomies lo
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ar, finalement, si on arrive à supprimer tous les
problèmes
individuels on aboutira à un monde où la passion, la tentation de la
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ulturelles. Cela paraît certes compliqué, mais le
problème
se résoudrait facilement si on les administrait séparément. Il y aura
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suffire, semble-t-il, à clarifier un terme que le
problème
européen et nos situations nationales nous amènent à utiliser quotidi
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d’abord, trois définitions. Je propose d’appeler
problème
fédéraliste une situation dans laquelle s’affrontent deux réalités hu
88
offre et la demande dans un prix). L’ensemble des
problèmes
et des solutions ainsi définies constitue ce que je nommerai la polit
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là qui est proprement occidental : devant ce même
problème
de l’un et du divers, les métaphysiques orientales prennent le parti
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rne où l’on retrouve les structures typiques d’un
problème
fédéraliste. À la base de notre analyse, plaçons une conception de l’
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l’autre — l’autonomie. Quelques exemples : 1° Le
problème
des universités résulte d’un couple d’exigences contradictoires, qui
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la spécialisation et la culture générale. 2° Les
problèmes
actuels de l’habitat et de l’urbanisme résultent de la croissante dif
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Au niveau de la vie civique et politique, tout le
problème
revient à concilier les besoins contraires, mais vitaux d’autonomie l
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plus grand ensemble, en association. 4° Enfin, le
problème
général de l’œcuménisme n’est-il pas le même en sa forme que ceux que
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l’étymologie — que nous allons enfin retrouver le
problème
classique du fédéralisme : comment assurer la cohésion d’un ensemble
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ure » ; lui, sans vouloir « toucher au redoutable
problème
de la légitimité de la guerre », dit seulement que « si elle est inév
97
’éditions, vers les formes les plus neuves et les
problèmes
les plus urgents qui se manifestaient dans chacun de ces domaines de