1 nous répugnons à le faire, si nous pensons que le problème européen dépasse celui d’une simple organisation de notre économie, s

2 nements d’État mais de les aider à résoudre leurs problèmes de la façon qui convient. Pour Nelson Rockefeller, comme pour Trudeau

3 ir l’autonomie de chacun de ses membres, c’est un problème parfaitement homologue à celui que la Suisse a résolu avec ses 25 pet

4 ue la solution se trouve dans les termes mêmes du problème ainsi formulé : car l’unité différenciée se traduit tout naturellemen

5 stitue donc l’obstacle principal. Je pense que le problème le plus important est celui de l’environnement, car la civilisation c

6 et mode de vie ne se pose même pas. Pour eux, le problème se résume encore à celui de la survie dans la rareté. Attention ! Je

7 uvements antagonistes Ne touche-t-on pas là un problème de structures politiques et économiques, plutôt qu’un problème de dim

8 tructures politiques et économiques, plutôt qu’un problème de dimension et d’organisation des pays ? Le type de société que vous

9 nations. Bien sûr, si l’on prend, par exemple, le problème des transports, ce serait un progrès considérable de remplacer, dans

10 rope. Nous avons soulevé un certain nombre de ces problèmes et de ces objections, au cours d’un entretien qu’il nous a accordé da

11 llite, des États-Unis ou de l’URSS, esquissait ce problème crucial devant lequel se trouvent aujourd’hui confrontés les pays de

12 respect des forêts, c’est-à-dire englobe tous les problèmes d’environnement, aussi bien urbain que rural. Les problèmes d’éducati

13 d’environnement, aussi bien urbain que rural. Les problèmes d’éducation m’ont amené au problème de l’Université, et là, je montre

14 e rural. Les problèmes d’éducation m’ont amené au problème de l’Université, et là, je montre la fécondité des études régionales.

15 cile d’associer d’abord les choses nouvelles. Les problèmes sont les mêmes pour tous et tous sont heureux de se rencontrer en ter

16 olontés vers une communauté nouvelle. Au-delà des problèmes de niveau de vie, la fédération de l’Europe devient alors la conditio

17 lle, elle doit chercher à se rendre utile, et son problème n’est pas d’exploiter le voisin mais de coopérer avec lui. Elle n’a d

18 s d’une cité, d’une communauté libre. Pourquoi le problème de l’amour, du mariage et de leur drame vous a-t-il passionné depuis

19 unique au monde : ils ne peuvent pas devenir des problèmes là où tout est réglé, programmé. La crise du mariage est typique de l

20 e, mais d’autant plus sincère, a fait revivre les problèmes que nous avions posés dans les années 1930. C’est vrai, une partie de

21 t nous pourrions nous en tenir là, et déclarer le problème inexistant, s’il n’y avait dans le même Littré ces deux précisions mé

22 ur histoire au lycée. Et voilà qui repose tout le problème . Telle étant la situation de fait, en France, il fallait bien lui don

23 auté européenne a été la première à réunir sur ce problème , dès 1960, des groupes d’études dont les travaux devaient prendre for

24 s institutions de la Capitale, elle fera voir les problèmes concrets de la vie publique et les moyens d’y participer à tous les é

25 l’avenir d’un coup qui se rouvre, mais aussi les problèmes qui reviennent, cette réponse à donner surtout… Deux semaines plus tô

26 il fallait d’abord bien voir les données fixes du problème et mettre au point un code de collaboration, et, cela fait, chacun s’

27 olontés vers une communauté nouvelle. Au-delà des problèmes de niveau de vie, la fédération de l’Europe devient alors la conditio

28 llut exactement vingt siècles pour qu’on relie ce problème à l’art de l’ingénieur et aux calculs de l’astronome, ou plus tard de

29 tre homme et celles de la santé du corps social : problèmes très neufs pour l’ingénieur ! Qu’il les assume, et du même coup il se

30 ertaines valeurs ou systèmes de valeurs selon nos problèmes présents. C’est dire que mis en face de l’héritage total, nous senton

31 en plus grandes qui sont capables de résoudre ces problèmes de plus en plus grands. Ce qui peut être fait par la commune, doit l’

32 ir une région ? Les régions sont définies par des problèmes qui sont extrêmement divers. Il y a en Europe une quantité de régions

33 une quantité de régions qui sont définies par des problèmes . Il y a, par exemple, une cinquantaine de régions écologiques bien dé

34 disant économies nationales qui posent des tas de problèmes radicalement faux. Pourquoi y aurait-il une écono­mie qui correspondr

35 éralisme pourrait-il résoudre plus facilement les problèmes écologiques actuels ? Oui. Parce que dans une fédération formée de ré

36 gions, il y aurait des régions écologiques où les problèmes seraient bien connus, bien cernés et résolus d’après le génie du lieu

37 de l’URSS.) J’ai mis deux de mes étudiants sur ce problème . Ils ont trouvé que la grande majorité des manuels d’histoire et de g

38 cessairement réaliser un jour ! Cette position du problème des études de l’avenir paraît aller de soi pour la plupart de mes con

39 moyen de l’information. a) L’information sur les problèmes locaux étant la plus dense et détaillée, la participation aux décisio

40 elle rendra le citoyen mieux capable de situer un problème dans l’ensemble de la société où il vit, de sa culture, de ses valeur

41 saires (au sens de mode d’emploi) pour traiter un problème public sur lequel il est appelé à se prononcer. Dans le second cas, l

42 , entre toutes les classes de la population12. Le problème des unités d’habitation et de leurs dimensions à la mesure d’une vie

43 rès également informés, de première main, sur les problèmes à débattre et à trancher par un vote. Ce type d’assemblée est devenu

44 éactivités paraissent propres à résoudre certains problèmes pratiques de la participation, elles semblent aussi devoir poser de n

45 on, elles semblent aussi devoir poser de nouveaux problèmes . Entre les domaines d’activité qui continueront d’impliquer « l’enrac

46 age du couple solitaire-solidaire. C’est l’un des problèmes majeurs de l’an 2000 ! — Options relatives aux libertés de la personn

47 n sa loi. Il est d’autres centres du monde où les problèmes de la survie d’un lieu sublime se posent en des termes semblables. Ai

48 opéens sont amenés à reconnaître l’existence d’un problème régional, celui-ci, selon les cas ou les pays, sera de nature ethniqu

49 Motifs ethniques, motifs économiques Mais le problème n’est pas seulement spéculatif et prospectif. Il est posé en vrac, en

50 ’ailleurs en interaction fréquente. I. Il y a les problèmes linguistiques du Sud-Tyrol et du Val d’Aoste, de l’Alsace, de la gran

51 le… Régions transfrontalières Toutefois, un problème d’une portée politique plus décisive se trouve posé par les régions «

52 -la-Chapelle-Maestricht-Liège, etc. Désormais, le problème est posé par la CEE et par le Conseil de l’Europe, de la constitution

53 ticulièrement frappant à cet égard. On connaît le problème  : Genève, ville internationale, manque d’hinterland, et les zones voi

54 de plus en plus fictive) des États. Or tous les problèmes concrets qui se posent dans cette région appellent des solutions tran

55 ellent des solutions transfrontalières. Et chaque problème définit une région différente en termes de territoire. Il y a autour

56 . Il s’agit simplement de résoudre les principaux problèmes de notre vie moderne selon leur mérite, c’est-à-dire leur nature et l

57 oilà qui paraît très concevable, mais qui pose le problème très neuf de l’administration de ces régions d’aires variables : cell

58 eurs de l’État ». Mais cela aussi pose un nouveau problème  : les délais nécessaires, quinze à vingt ans pour former une générati

59 temps. Ses écrits portent principalement sur les problèmes européens et leur solution. Son œuvre, traduite en plusieurs langues,

60 ce même journal du 20 juin au 1er juillet sur les problèmes et les structures européennes.

61 tiquement acceptable pour les nations qui ont des problèmes régionaux (laquelle n’en a pas ?), pour les ethnies qui se trouvent s

62 e. Cette pluralité d’allégeances ne me pose aucun problème ni théorique ni pratique. Si maintenant un fou venait me dire : toute

63 la région serait de pouvoir se prononcer sur les problèmes qui les concernent. Et puis, finissons-en avec ces questions de taill

64 e toutes grandeurs, selon les dimensions de leurs problèmes , la qualité de leur mode de vie, les goûts et volontés de leurs habit

65 es questions convenues (personne n’y croit). ⁂ Un problème d’une portée politique décisive se trouve posé par les régions « natu

66 -la-Chapelle-Maestricht-Liège, etc. Désormais, le problème est posé, par la CEE et par le Conseil de l’Europe, de la constitutio

67 ticulièrement frappant à cet égard. On connaît le problème  : Genève, ville internationale, manque d’hinterland, et les zones voi

68 de plus en plus fictive) des États. Or, tous les problèmes concrets qui se posent dans cette région appellent des solutions tran

69 ellent des solutions transfrontalières. Et chaque problème définit une région différente en termes de territoire. Il y a autour

70 . Il s’agit simplement de résoudre les principaux problèmes de notre vie moderne selon leur « mérite », c’est-à-dire leur nature

71 États-nations sont incapables de résoudre un tel problème , comme ils sont impuissants devant l’inflation, le chaos monétaire, l

72 dans le tiers-monde, l’urbanisation sauvage, les problèmes de défense. Faute de politique commune, à cause de leurs prétentions

73 ar exemple une région écologique, définie par les problèmes du Léman, de Cointrin, de la centrale nucléaire projetée à Verbois ;

74 n et grâce à elle, un pouvoir de décision sur les problèmes fondamentaux de sa vie. Ce que les États-nations ne font pas. La part

75 u Austerlitz, c’est tout de même très loin de nos problèmes actuels réels. Une petite phrase de Simone Weil m’a frappé : « L’orgu