1
nos démocraties bourgeoises n’ont même pas vu le
problème
, et ne soupçonnent même pas son importance fondamentale. Mais l’État-
2
part obligé de cette enquête. Elle pose en soi un
problème
très sérieux, voire formidable. Nous avons été formés par quatre ou c
3
lle de l’État-nation ; tant il est clair qu’aucun
problème
écologique ne se laisse définir par nos frontières, et qu’aucune fron
4
au xxe siècle. L’État-nation ne répond plus aux
problèmes
économiques du monde moderne et encore moins aux réalités civiques. L
5
Suisse et France, etc. Toutes ces régions ont des
problèmes
communs, les mêmes des deux côtés de la frontière, qui ne peuvent êtr
6
mment suivant des fonctions, suivant la nature du
problème
à résoudre. Il faut chercher partout, comme à tâtons, le relief des p
7
t chercher partout, comme à tâtons, le relief des
problèmes
, les voir se soulever, se définir, et il faut se décider d’après ça,
8
es, etc.). L’autogestion de l’entreprise pose des
problèmes
bien particuliers suivant les entreprises : ce n’est pas le même prob
9
rs suivant les entreprises : ce n’est pas le même
problème
, suivant la nature des entreprises. Il y a beaucoup d’expériences qui
10
unauté dans laquelle nous sommes nés ? Devant ces
problèmes
de destin, notre approche ne sera pas théorique. Nous ne partons pas
11
nsée grecque une révélation venue de la Judée. Le
problème
majeur des conciles est celui de la Trinité : comment définir et dist
12
cation — et c’est cela que j’appelle le péché. Le
problème
de l’aliénation, essentiellement lié à celui de la personne, me paraî
13
é à celui de la personne, me paraît se ramener au
problème
du pouvoir : pouvoir sur soi ou pouvoir sur autrui ? J’ai fait allusi
14
ns qui rendra seule possible cette union. Tout le
problème
politique, social, culturel, économique, écologique de l’Europe — et
15
imposée. Il faudra donc étudier attentivement les
problèmes
de la différenciation, d’adhésion ou de sécession, qui se poseront da
16
en vertu de ses motivations que de son succès. Le
problème
spécifique de la Suisse naît du fait qu’à l’instar des nations qui l’
17
s autres continents. Ces agences s’occuperont des
problèmes
réels qui se manifestent au niveau des régions : elles pourront notam
18
ore moins économiques d’abord. La solution de nos
problèmes
économiques est à chercher sur un tout autre plan que celui où la cri
19
aquelle il n’est pas une vraie personne, c’est le
problème
central de notre temps. Les régions fonctionnelles, d’aires diverses
20
tout ce qui est autour du Léman. Une quantité de
problèmes
seraient à résoudre sur place par des gens de la région, avec l’aide
21
gion, avec l’aide des élus locaux. Par exemple le
problème
de sauvetage du Léman, de l’épuration des eaux du Rhône (qui intéress
22
i on avait la même station de pompage… Il y a les
problèmes
de l’aéroport qui sont évidemment communs aux deux côtés de la fronti
23
communs aux deux côtés de la frontière. Il y a le
problème
des travailleurs frontaliers, celui de l’énergie, la question de Verb
24
s douaniers arrêteraient les neutrons… Il y a des
problèmes
d’éducation : il n’est pas tolérable que des enfants de travailleurs
25
rranger, mais il aura fallu des années. Il y a le
problème
de la coopération entre les universités de la grande région Besançon
26
teur de l’humanité. Il ne connaît et n’aime aucun
problème
extrême, et par suite, aucun parti extrémiste. La politique suisse vi
27
— et pour le coup, « bien suisse » — à juger d’un
problème
moins sur son mérite propre (ou contenu) que sur les mérites moraux d
28
ne peut que lui donner raison, et puis les vrais
problèmes
se posent, ou plutôt : ils sont encore là, attendant qu’on les examin
29
ne fois passés nos examens de conscience. « Quels
problèmes
? », me demande l’Européen qui venait admirer notre libre Helvétie et
30
« matérialisme jouisseur, calculateur, éludant le
problème
du sens de la vie »18 d’une existence amortie comme une dette, d’un b
31
de Malmö ou de Livourne. On pensait que tous ces
problèmes
étaient moins difficiles chez vous, dans vos petits États fédérés. —
32
même plus le temps de vivre ! IV Le nœud du
problème
, le lieu de l’affrontement décisif, se situe donc dans la définition
33
le soutien de la morale utilitaire qui règne sans
problème
sur les États-Unis depuis l’époque de Benjamin Franklin. Sous une éco
34
e paix et de normalité, être neutre ne pose aucun
problème
, et le régime fédéraliste permet de respecter au plus près les divers
35
. Il n’apparaît donc plus possible de séparer les
problèmes
intérieurs du fédéralisme des problèmes extérieurs de la neutralité e
36
parer les problèmes intérieurs du fédéralisme des
problèmes
extérieurs de la neutralité et de la coopération. La Suisse face à
37
le siècle dernier pouvait encore la définir. Les
problèmes
concrets qui se posent à la Suisse actuelle dans les domaines les plu
38
politique serait seule capable de faire face aux
problèmes
qui se posent à l’échelle mondiale — énergie, pollution, famine, paix
39
s que se pose en permanence, depuis longtemps, le
problème
de l’entrée de la Suisse à l’ONU. La Suisse, en adhérant, ne risquer
40
nière à pouvoir traiter dans l’intérêt commun les
problèmes
qui se posent au niveau de la Confédération. La difficulté, avec le f
41
entre le xiiie et le xxe siècle, la nature des
problèmes
a changé. Cependant, malgré les apparences, on retrouve toujours le m
42
es grandes religions de l’Asie, qui va créer le «
problème
sexuel » de l’Occident christianisé. Contre l’opinion générale des Gr
43
ait fatalement devenir une source intarissable de
problèmes
, tant pour la société que pour l’individu. Au surplus, lié dès l’orig
44
ier tabou, le plus fort Nous avons vu que le «
problème
sexuel » est né dans le monde christianisé du fait de l’absence d’un
45
pe des expressions telles qu’érotisme, sexualité,
problème
sexuel, dans les œuvres de Charles Fourier et de ses disciples social
46
usical. Ce jeune chef prestigieux connaissait les
problèmes
artistiques et pratiques des nombreux festivals où il avait dirigé. I
47
l’Europe. La musique n’aidera pas à résoudre les
problèmes
de l’union politique de nos peuples, mais elle atteste mieux que la s
48
tique, nous retrouverons toujours le même type de
problèmes
: unir sans uniformiser, maintenir les différences au sein d’une harm
49
ître, et d’échanger une ou deux fois par an leurs
problèmes
et leurs expériences, elle aurait mérité d’exister. Laissant de côté
50
peut-être pourquoi elle reste si vivante ?) 2. Le
problème
d’une définition du festival authentique s’est donc posé d’emblée aux
51
ècle, ou de Coudenhove-Kalergi dès 1923. C’est un
problème
de vie ou de mort pour un demi-milliard d’humains, leur culture (dont
52
est un élément) et leurs manières de vivre. Et ce
problème
ne se pose pas dans l’espace vide de la théorie intemporelle. Il nous
53
siècle. Il s’agirait donc selon vous d’étudier un
problème
d’actualité, en vue de lui trouver des solutions pratiques, et non pa
54
la problématique européenne, puis à formuler les
problèmes
du présent, enfin à leur imaginer des solutions. C’est dire que le no
55
olitique, en anthropologie philosophique, sur les
problèmes
de l’Europe, est-ce que cela ne vous condamne pas à l’européocentrism
56
e au besoin, la confiance dans le prochain. Notre
problème
n’est pas des moyens et des fins, car les fins seules dicteront leurs
57
éalisation de leur vocation. De leur personne. Le
problème
des centrales nucléaires n’est pas technologique, même pas économique
58
aux populations, ont à faire face aujourd’hui aux
problèmes
d’un monde dont le pétrole va s’épuiser… Comment remplacer le pétrole
59
profondément dans tout l’Occident, l’approche des
problèmes
de l’école et de la formation de l’enfant. Le Bureau international de
60
politique, je veux dire une certaine approche des
problèmes
de la cité. Il implique une économie dérivée de la culture et des acc
61
ses liens traditionnels avec le Val d’Aoste. Les
problèmes
horlogers renouvellent les rivalités mais aussi les complicités histo
62
égionale franco-suisse, créée en 1973, étudie les
problèmes
non seulement économiques mais sociaux, d’éducation et d’environnemen
63
des milliers de physiciens. Là, nous abordons le
problème
de « l’agression technicienne contre la nature » ? Oui, et ce qui la
64
ons. Vous semblez trouver une solution à tous vos
problèmes
dans la régionalisation ? N’allons pas trop vite ! Je constate, en hi
65
es théologiens) dont on entoure dans nos pays les
problèmes
du nucléaire. Vous vous interrogez à leur propos et vous en arrivez à
66
uelque chose d’irrationnel. Cela pose en effet un
problème
psychologique très curieux : personnellement, je connais plus ou moin
67
la question : « Est-ce qu’il y a une solution au
problème
des déchets ? » Pas un savant sérieux ne peut dire qu’il l’a trouvée.
68
entendez dire tous les jours : « Ça n’est plus un
problème
, ça a été réglé. » Les gens qui profèrent ces mensonges savent très b
69
xemple pris dans un seul pays. Détrompez-vous, le
problème
a été très sérieusement discuté aux États-Unis, vu la gravité de la c
70
augmente… Mais c’est bien là, justement, tout le
problème
. Il n’y a aucun impératif à cela. Ce sont encore des « experts » qui
71
rarie ; car il a très bien montré, dans le cas de
problèmes
qu’il évoque, que même le général de Gaulle, chef de l’État, agissant
72
de pouvoir central capable de résoudre nombre de
problèmes
qui ne peuvent être résolus au niveau, trop étroit, des cantons. C’es
73
ope — me paraît être le cadre le mieux adapté aux
problèmes
que nous avons à résoudre d’urgence. Regardez, par exemple, ce qui se
74
mière fois que l’humanité est confrontée à un tel
problème
, car elle n’avait pas, auparavant, les moyens de tout faire sauter. J
75
prendre de positif pour faire face à ces immenses
problèmes
? Comme je le montre dans mon livre, les États-nations ne sont plus a
76
epuis une quarantaine d’années avec l’analyse des
problèmes
les plus actuels. Il faut souligner cette fidélité méditante et fécon
77
Ce qui est grave actuellement c’est que les vrais
problèmes
ne sont pas du tout abordés par les hommes politiques. Regardez la Fr
78
t pour les États-Unis. « Hitler fut la réponse au
problème
fondamental de notre temps », dit-il. Terrible constat. Il l’explique
79
de toute l’Europe, pour les rendre conscients des
problèmes
de l’école, de tous les mensonges qu’elle colporte et des moyens de l
80
enis de Rougemont, lui, a le droit de parler d’un
problème
qui est le centre de ses préoccupations. Voilà des années qu’il étudi
81
e. Le nucléaire pourrait-il être une solution aux
problèmes
d’énergie ? Là encore, soit dit en passant, le parti communiste a opé
82
marées et de l’énergie atomique, le règlement du
problème
agricole de l’Europe […], sans cesse confronté avec le devenir de l’é
83
côtés qu’une armée sans gouvernement poserait des
problèmes
insolubles. D’autres voulaient croire, en revanche, qu’elle entraîner
84
qui porte son nom, parce que ce plan résultait du
problème
dans lequel s’était noué son drame personnel, et parce que ce plan fi
85
par une sorte de contre-épreuve expérimentale, le
problème
de la paternité politique de ce qui allait devenir l’Europe des Six,
86
demandait, un jour : « Que faites-vous devant un
problème
insoluble ? », répondait : « Eh bien ! je le complique. » (Vous avez
87
ontres ont choisi le thème du pouvoir. Le nœud du
problème
traité hier soir par Jeanne Hersch c’est, peut-être, ce sentiment d’i