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Le fédéralisme préconise donc de résoudre chaque
problème
au niveau même où il se pose ? Oui, le fédéralisme part d’en bas, c’e
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ement celles qui correspondent à la dimension des
problèmes
qu’elle est le mieux en mesure de gérer. « Ne confiez jamais à une pl
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tendre sa voix ; mais aussi, « à la taille de ses
problèmes
» — qui sont « à géométrie variable » comme on vient de le voir, jama
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’il était du devoir des écrivains d’affronter les
problèmes
de la crise naissante. Ce qui ne m’empêchait nullement, par ailleurs,
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a région peut faire. Mais, aujourd’hui, certains
problèmes
sont mondiaux : pour sauver les océans, par exemple, cela suppose une
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affaire , « la contestation nucléaire devient un
problème
transnational » ! Cela aussi démontre qu’aujourd’hui, la notion de fr
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n de frontière est une notion aberrante et que le
problème
de la vie sur Terre est ou bien mondial, ou bien régional. C’est la v
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lture, le même climat, le même lac avec les mêmes
problèmes
de pollution. Et ce lac est en train d’en crever. Mais cela, c’est ma
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nt comme le font les délégués de ceux qui ont des
problèmes
professionnels en commun. Aucune réglementation nationale ne peut emp
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bérément, dans toutes nos écoles ? — Aborder les
problèmes
des droits de l’homme en référence permanente à ce que nous avons tou
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doute, j’avais cru comprendre qu’il s’agirait du
problème
global de la Suisse et de l’union de l’Europe. J’avais dit oui, bien
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en faire une Communauté politique par exemple, le
problème
change de nature, radicalement. Car il serait dangereux de prétendre
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e refus de recourir à la guerre pour régler aucun
problème
politique, social ou économique, refus de préparer la guerre et de co
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de l’économisme de Bruxelles, et de faire face au
problème
proprement politique de l’union européenne, pourquoi s’interdire de s
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la Confédération suisse, et cela n’a jamais fait
problème
), pourquoi ne pas envisager la multiplication d’agences fédérales spé
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éalisation de leur vocation. De leur personne. Le
problème
des centrales nucléaires n’est pas technologique, même pas économique
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centré tout de suite et tout naturellement sur le
problème
des régions. Pourquoi ? Partons de la guerre qui résume toutes les me
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e sait plus quoi dire, on nous avertit que : « Le
problème
soulevé touche la Défense nationale, nous n’en dirons pas plus ! » Ma
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région), cette notion, donc, pose une quantité de
problèmes
auxquels je n’ai pas trouvé un système de réponses claires, nettes, e
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es agences mondiales. Je rappellerai notamment le
problème
de la déforestation du monde, c’est-à-dire de la création du désert q
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t si grave au Brésil, en Afrique et au Canada. Le
problème
de la destruction de l’humus : régional d’abord, mais bientôt mondial
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umus : régional d’abord, mais bientôt mondial. Le
problème
des mers, des océans, de la pollution des océans, qui rejoint par son
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llution des océans, qui rejoint par son danger le
problème
des forêts, puisque les océans produisent les quatre cinquièmes et le
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ns envisagent de respirer demain. Il y a aussi le
problème
des eaux douces. Il faut donc un certain minimum d’agences fédérales
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elle nous ne serions pas amenés à discuter ici le
problème
des régions. S’il y a crise, s’il faut absolument trouver une autre f
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is pas qu’il y ait là une solution définitive aux
problèmes
de l’humanité. » On pourrait repousser n’importe quelle solution sur
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: « Mais attention, cela ne répond pas à tous les
problèmes
de l’humanité ! » Ensuite, il commet une erreur en disant qu’une comm
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implement : « Nourrir l’humanité va être le grand
problème
dans la crise terrible dans laquelle nous entrons, les famines, etc.
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uant à ce qui suit. R. Strassoldo dit : « Le vrai
problème
du fédéralisme est au niveau mondial ; quelles forces externes pourro
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ore trouvé le moyen d’écrire pour vous ? C’est le
problème
de la compatibilité entre l’œuvre et l’engagement qui se pose dans vo
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ublier une dizaine d’ouvrages sur l’Europe et ses
problèmes
spécifiques, tels que L’Europe en jeu , Vingt-huit siècles d’Europe
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télévision), gavés de nouvelles posant les mêmes
problèmes
, proposant les mêmes choix, mais imposant — et c’est ce qui compte en
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que. Un jour, avec Louis Armand, nous parlions du
problème
des régions, en tant qu’unités de base de toute fédération imaginable
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et responsable. ⁂ J’aborderai maintenant l’un des
problèmes
majeurs d’aujourd’hui : celui de l’emploi et du chômage, pour illustr
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lus de cinquante ans, la réponse. Aujourd’hui, le
problème
est posé à nouveau en termes d’informatisation. On y répond généralem
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puis ce temps-là. Qu’en est-il aujourd’hui de ce
problème
crucial des progrès indissociables de la technologie et du chômage ?
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s 1970, faisant de la préservation de l’emploi un
problème
majeur dans les négociations syndicales ». (Les récentes grèves dans
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ème. Le Bureau international du travail, saisi du
problème
, a formulé des mesures de protection contre ce stress. L’économiste a
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n’a fait que rendre plus urgent et dramatique le
problème
, toujours renvoyé à des lendemains qui ronronnent, d’une productivité
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t de vue qu’on appelle réaliste aujourd’hui Le
problème
des centrales nucléaires n’est pas technologique, n’est pas économiqu
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hie, jusqu’à rejoindre l’Europe de l’Ouest et ses
problèmes
actuels de dépassement des frontières étatiques et d’action pour une
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arts et les sciences, jusqu’à la technique et aux
problèmes
économiques presque insolubles qu’elle est en train de créer dans tou
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ltures, approcher d’une manière toute nouvelle le
problème
crucial du chômage, problème mondialisé par le succès même de nos tec
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re toute nouvelle le problème crucial du chômage,
problème
mondialisé par le succès même de nos techniques ? Serait-il raisonna
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e ou telle étiquette. Nous voulions affronter les
problèmes
concrets, c’est-à-dire les problèmes de l’homme et non pas des états-
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ffronter les problèmes concrets, c’est-à-dire les
problèmes
de l’homme et non pas des états-majors de partis ou d’États ; les pro
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n pas des états-majors de partis ou d’États ; les
problèmes
du travail et du chômage, de la centralisation étatique en vue de la
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le contrer, les comportements et les positions du
problème
des fascistes et des nazis, qu’en y ajoutant un peu de discipline (ma
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ême un peu différent, n’est-ce pas ? Au reste, le
problème
était sérieux. Beaucoup craignaient que résister à Hitler par des moy
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les raisons de vivre. (Et propter vitam, etc.) Le
problème
est très vieux. Il est traité déjà dans le livre biblique des Proverb
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surréaliste reformé à New York. Cela lui pose un
problème
très sérieux. Nous en parlons, difficilement… Son désir de ne pas rom
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un en trois. Comment dire cela ? Ce fut le grand
problème
des pères de l’Église à partir du concile de Nicée, et cela a finalem
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quatrième partie de Politique de la personne , «
Problèmes
de la révolution personnaliste ». aj. « Interview avec Denis de Roug
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tal, dont nous avons trop peu conscience. Déjà le
problème
des régions devient le problème numéro un pour de nombreux pays du co
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nscience. Déjà le problème des régions devient le
problème
numéro un pour de nombreux pays du continent : la Belgique, la Grande
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« qu’on le veuille ou non » sont nécessaires. Les
problèmes
quelles seraient censées résoudre, c’est nous qui les avons créés, to
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utonium. C’est nous qui le fabriquons. Tous nos «
problèmes
» économiques expriment simplement les contradictions de nos désirs.
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e et méchant, c’est dans ses chromosomes. Tout le
problème
politique est de l’empêcher de faire de grandes bêtises. Vous êtes bê
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servir ceux qui veulent la liberté ? Il y a là un
problème
de dimensions et de choix des outils mis à notre disposition. Par exe
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à la taille de l’homme, où chacun peut juger des
problèmes
à résoudre. Mon système fédéraliste est en somme très simple. Il cons
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an, pollué par les Suisses et les Français est un
problème
régional, transfrontalier. Le sauvetage du Rhin, poubelle de l’Europe
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e l’Europe, pollué par au moins cinq pays, est un
problème
européen, continental. Et le sauvetage des océans pollués par le pétr
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ique 4/5e de l’oxygène que nous respirons, est un
problème
mondial, qui appelle une agence mondiale. Les enfants comprennent trè
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s. Mais puisque vous revenez irrésistiblement aux
problèmes
brûlants de l’énergie, je vous dirai ceci : les promoteurs du nucléai