1 1982, Articles divers (1982-1985). De la personne à l’Europe des régions (25 mars 1982)
1 Le fédéralisme préconise donc de résoudre chaque problème au niveau même où il se pose ? Oui, le fédéralisme part d’en bas, c’e
2 1982, Articles divers (1982-1985). Des régions à la paix pour l’union de l’Europe (juillet-août 1982)
2 ement celles qui correspondent à la dimension des problèmes qu’elle est le mieux en mesure de gérer. « Ne confiez jamais à une pl
3 tendre sa voix ; mais aussi, « à la taille de ses problèmes  » — qui sont « à géométrie variable » comme on vient de le voir, jama
3 1982, Articles divers (1982-1985). Un écrivain au service de la cité (24 octobre 1982)
4 ’il était du devoir des écrivains d’affronter les problèmes de la crise naissante. Ce qui ne m’empêchait nullement, par ailleurs,
4 1982, Articles divers (1982-1985). La peur d’être libre… (printemps-été 1982)
5 a région peut faire. Mais, aujourd’hui, certains problèmes sont mondiaux : pour sauver les océans, par exemple, cela suppose une
6 affaire , « la contestation nucléaire devient un problème transnational » ! Cela aussi démontre qu’aujourd’hui, la notion de fr
7 n de frontière est une notion aberrante et que le problème de la vie sur Terre est ou bien mondial, ou bien régional. C’est la v
8 lture, le même climat, le même lac avec les mêmes problèmes de pollution. Et ce lac est en train d’en crever. Mais cela, c’est ma
9 nt comme le font les délégués de ceux qui ont des problèmes professionnels en commun. Aucune réglementation nationale ne peut emp
5 1982, Articles divers (1982-1985). L’Europe une et diverse : la contribution des cultures nationales [commentaires] (1982)
10 bérément, dans toutes nos écoles ? — Aborder les problèmes des droits de l’homme en référence permanente à ce que nous avons tou
6 1983, Articles divers (1982-1985). La Suisse et quelle Europe ? (1983)
11 doute, j’avais cru comprendre qu’il s’agirait du problème global de la Suisse et de l’union de l’Europe. J’avais dit oui, bien
12 en faire une Communauté politique par exemple, le problème change de nature, radicalement. Car il serait dangereux de prétendre
13 e refus de recourir à la guerre pour régler aucun problème politique, social ou économique, refus de préparer la guerre et de co
14 de l’économisme de Bruxelles, et de faire face au problème proprement politique de l’union européenne, pourquoi s’interdire de s
15 la Confédération suisse, et cela n’a jamais fait problème ), pourquoi ne pas envisager la multiplication d’agences fédérales spé
7 1984, Articles divers (1982-1985). Club-Énergie de l’Est vaudois : avec Denis de Rougemont (19 juin 1984)
16 éalisation de leur vocation. De leur personne. Le problème des centrales nucléaires n’est pas technologique, même pas économique
8 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : conclusions (1984)
17 centré tout de suite et tout naturellement sur le problème des régions. Pourquoi ? Partons de la guerre qui résume toutes les me
18 e sait plus quoi dire, on nous avertit que : « Le problème soulevé touche la Défense nationale, nous n’en dirons pas plus ! » Ma
19 région), cette notion, donc, pose une quantité de problèmes auxquels je n’ai pas trouvé un système de réponses claires, nettes, e
20 es agences mondiales. Je rappellerai notamment le problème de la déforestation du monde, c’est-à-dire de la création du désert q
21 t si grave au Brésil, en Afrique et au Canada. Le problème de la destruction de l’humus : régional d’abord, mais bientôt mondial
22 umus : régional d’abord, mais bientôt mondial. Le problème des mers, des océans, de la pollution des océans, qui rejoint par son
23 llution des océans, qui rejoint par son danger le problème des forêts, puisque les océans produisent les quatre cinquièmes et le
24 ns envisagent de respirer demain. Il y a aussi le problème des eaux douces. Il faut donc un certain minimum d’agences fédérales
9 1984, Articles divers (1982-1985). Autour de l’Avenir est notre affaire : réponse à Raimondo Strassoldo (1984)
25 elle nous ne serions pas amenés à discuter ici le problème des régions. S’il y a crise, s’il faut absolument trouver une autre f
26 is pas qu’il y ait là une solution définitive aux problèmes de l’humanité. » On pourrait repousser n’importe quelle solution sur
27 : « Mais attention, cela ne répond pas à tous les problèmes de l’humanité ! » Ensuite, il commet une erreur en disant qu’une comm
28 implement : « Nourrir l’humanité va être le grand problème dans la crise terrible dans laquelle nous entrons, les famines, etc.
29 uant à ce qui suit. R. Strassoldo dit : « Le vrai problème du fédéralisme est au niveau mondial ; quelles forces externes pourro
10 1984, Articles divers (1982-1985). L’Europe et les intellectuels (1984)
30 ore trouvé le moyen d’écrire pour vous ? C’est le problème de la compatibilité entre l’œuvre et l’engagement qui se pose dans vo
31 ublier une dizaine d’ouvrages sur l’Europe et ses problèmes spécifiques, tels que L’Europe en jeu , Vingt-huit siècles d’Europe
11 1984, Articles divers (1982-1985). Informatique, société, sagesse (1984)
32 télévision), gavés de nouvelles posant les mêmes problèmes , proposant les mêmes choix, mais imposant — et c’est ce qui compte en
33 que. Un jour, avec Louis Armand, nous parlions du problème des régions, en tant qu’unités de base de toute fédération imaginable
34 et responsable. ⁂ J’aborderai maintenant l’un des problèmes majeurs d’aujourd’hui : celui de l’emploi et du chômage, pour illustr
35 lus de cinquante ans, la réponse. Aujourd’hui, le problème est posé à nouveau en termes d’informatisation. On y répond généralem
36 puis ce temps-là. Qu’en est-il aujourd’hui de ce problème crucial des progrès indissociables de la technologie et du chômage ?
37 s 1970, faisant de la préservation de l’emploi un problème majeur dans les négociations syndicales ». (Les récentes grèves dans
38 ème. Le Bureau international du travail, saisi du problème , a formulé des mesures de protection contre ce stress. L’économiste a
39 n’a fait que rendre plus urgent et dramatique le problème , toujours renvoyé à des lendemains qui ronronnent, d’une productivité
12 1984, Articles divers (1982-1985). Trois manières de considérer le nucléaire (1984)
40 t de vue qu’on appelle réaliste aujourd’hui Le problème des centrales nucléaires n’est pas technologique, n’est pas économiqu
13 1984, Articles divers (1982-1985). Le Patrimoine européen [conclusion] (1984)
41 hie, jusqu’à rejoindre l’Europe de l’Ouest et ses problèmes actuels de dépassement des frontières étatiques et d’action pour une
42 arts et les sciences, jusqu’à la technique et aux problèmes économiques presque insolubles qu’elle est en train de créer dans tou
43 ltures, approcher d’une manière toute nouvelle le problème crucial du chômage, problème mondialisé par le succès même de nos tec
44 re toute nouvelle le problème crucial du chômage, problème mondialisé par le succès même de nos techniques ? Serait-il raisonna
14 1985, Articles divers (1982-1985). Le personnalisme d’Emmanuel Mounier [témoignage I] (1985)
45 e ou telle étiquette. Nous voulions affronter les problèmes concrets, c’est-à-dire les problèmes de l’homme et non pas des états-
46 ffronter les problèmes concrets, c’est-à-dire les problèmes de l’homme et non pas des états-majors de partis ou d’États ; les pro
47 n pas des états-majors de partis ou d’États ; les problèmes du travail et du chômage, de la centralisation étatique en vue de la
15 1985, Articles divers (1982-1985). Le personnalisme d’Emmanuel Mounier [témoignage II] (1985)
48 le contrer, les comportements et les positions du problème des fascistes et des nazis, qu’en y ajoutant un peu de discipline (ma
49 ême un peu différent, n’est-ce pas ? Au reste, le problème était sérieux. Beaucoup craignaient que résister à Hitler par des moy
50 les raisons de vivre. (Et propter vitam, etc.) Le problème est très vieux. Il est traité déjà dans le livre biblique des Proverb
16 1985, Articles divers (1982-1985). Quelques-uns de mes écrivains : anecdotes (1985)
51 surréaliste reformé à New York. Cela lui pose un problème très sérieux. Nous en parlons, difficilement… Son désir de ne pas rom
17 1986, Articles divers (1982-1985). Interview avec Denis de Rougemont (1986)
52 un en trois. Comment dire cela ? Ce fut le grand problème des pères de l’Église à partir du concile de Nicée, et cela a finalem
53 quatrième partie de Politique de la personne , «  Problèmes de la révolution personnaliste ». aj. « Interview avec Denis de Roug
18 1986, Articles divers (1982-1985). L’Europe des consciences (1986)
54 tal, dont nous avons trop peu conscience. Déjà le problème des régions devient le problème numéro un pour de nombreux pays du co
55 nscience. Déjà le problème des régions devient le problème numéro un pour de nombreux pays du continent : la Belgique, la Grande
19 1996, Articles divers (1982-1985). « Plaise aux dieux que je sois un faux prophète » (automne 1996)
56 « qu’on le veuille ou non » sont nécessaires. Les problèmes quelles seraient censées résoudre, c’est nous qui les avons créés, to
57 utonium. C’est nous qui le fabriquons. Tous nos «  problèmes  » économiques expriment simplement les contradictions de nos désirs.
58 e et méchant, c’est dans ses chromosomes. Tout le problème politique est de l’empêcher de faire de grandes bêtises. Vous êtes bê
59 servir ceux qui veulent la liberté ? Il y a là un problème de dimensions et de choix des outils mis à notre disposition. Par exe
60 à la taille de l’homme, où chacun peut juger des problèmes à résoudre. Mon système fédéraliste est en somme très simple. Il cons
61 an, pollué par les Suisses et les Français est un problème régional, transfrontalier. Le sauvetage du Rhin, poubelle de l’Europe
62 e l’Europe, pollué par au moins cinq pays, est un problème européen, continental. Et le sauvetage des océans pollués par le pétr
63 ique 4/5e de l’oxygène que nous respirons, est un problème mondial, qui appelle une agence mondiale. Les enfants comprennent trè
64 s. Mais puisque vous revenez irrésistiblement aux problèmes brûlants de l’énergie, je vous dirai ceci : les promoteurs du nucléai