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ns présentant l’avantage immédiat de supprimer ce
problème
angoissant ? Ou bien pourrons-nous dépasser, surmonter ces contradict
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nt pas du monde, dans la cité, oui, mais comme un
problème
vivant, comme une insatiable question, voilà cet écrivain, voilà sa l
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nique ? Il s’agit cette fois-ci de mieux voir les
problèmes
, au lieu de les refouler parce qu’ils donnent le vertige. Je n’entend
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que soit par ailleurs son athéisme. Le retour aux
problèmes
religieux dans la littérature occidentale s’est amorcé dès 1919, et n
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ez-vous ? (Mais lui, s’il devenait immortel ?) Le
problème
de l’emploi du temps libre se posera donc demain. Par notre fait, dan
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ariste, l’efficience en un mot, qui ont permis au
problème
de se poser, sont précisément les qualités et attitudes qui prédispos
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Éros, qui était un dieu pour les Anciens, est un
problème
pour les Modernes. Le dieu était ailé, charmant, et secondaire ; le p
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Le dieu était ailé, charmant, et secondaire ; le
problème
est sérieux, complexe et encombrant. Mais cela n’est vrai qu’en Occid
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ces physiques, qui règlent tout ; de l’autre, les
problèmes
et les tortures morales… Les Églises chrétiennes ont toujours mieux r
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ait fatalement devenir une source intarissable de
problèmes
, tant pour la société que pour l’individu. Au surplus, lié dès l’orig
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l’obscure animalité. Le mariage ne posait que des
problèmes
d’héritages et de consanguinités souvent invraisemblables, justifiant
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it le monde actuel. Il n’y aurait pas non plus le
problème
de l’érotisme ! Les auteurs érotiques l’oublient très naïvement, tout
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ologie. Une fois reconnues, elles nous posent des
problèmes
qu’on ne résoudra plus en les niant. Les découvertes de l’analyse des
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nt le vide qui lui est révélé lorsqu’elle pose le
problème
de Dieu ? Dans notre série sur “les Religions au xxe siècle”, nous p
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sa foi seule qui le soutint, car les deux grands
problèmes
qu’il tentait de résoudre : atteindre l’Inde en contournant l’islam e
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les, comme Ulysse, et qui allaient poser d’autres
problèmes
, littéralement incalculables. Il fallut désormais aller toujours plus
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eur objet. Et ce qu’ils trouvent pose de nouveaux
problèmes
, tous imprévus, compromet les anciens équilibres, oblige à repenser t
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la sorte créer autant de risques qu’on résout de
problèmes
, telle est, je crois, la vraie formule du Progrès, dans sa définition
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l servile, elle a pris conscience la première des
problèmes
sociaux et moraux, éducatifs et spirituels qu’une technique et une sc
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ormulé, la première par ses meilleurs esprits, le
problème
de l’équilibre indispensable entre la tradition et l’innovation, et c
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e entre la tradition et l’innovation, et c’est le
problème
fondamental de notre temps. Or elle est seule à disposer, pour le rés
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forces vives, pour faire face non seulement à ses
problèmes
— éducatifs, sociaux et politiques — mais aussi aux nouvelles tâches
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’autant. Je vois venir le temps du changement des
problèmes
. Où mes aînés redoutaient la tentation, c’est l’échec qui fait peur à
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n. Va-t-il découvrir l’érotisme par le biais d’un
problème
sexuel très nouveau, né de la dégradation des obstacles sociaux comme
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ère classique, scientifique et hygiénique, où le
problème
numéro un de la jeunesse ne sera plus du tout la sexualité mais par e
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t la peur ne sont plus, dans nos pays riches, des
problèmes
fondamentaux, liés comme tels à la spiritualité, à la tentation, au p
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, dont on connaît les remarquables essais sur les
problèmes
de civilisations, a montré dans L’Amour et l’Occident comment le my