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-guerre d’une étrange vérité. Aux prises avec les
problèmes
sociaux et le luxe le moins apaisant, tournés vers la Russie, vers le
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tent au cœur de préoccupations des plus modernes,
problème
de la réalité littéraire, problème de la personnalité. Leur Prologue
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plus modernes, problème de la réalité littéraire,
problème
de la personnalité. Leur Prologue pourrait presque aussi bien être ce
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cœur de la crise de notre civilisation, il y a un
problème
de morale à résoudre, une conscience individuelle à recréer. Nous y e
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de plus en plus, se révèle à la base de tous les
problèmes
modernes en littérature. Jacques Rivière s’y appliqua dans un de ses
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lui permet de brutaliser quelque peu les « grands
problèmes
», et le voilà reparti dans un égoïsme triomphant, pur du désir d’act
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iter des démonstrations par l’absurde de quelques
problèmes
moraux et littéraires 8, à quoi beaucoup sacrifièrent leur jeunesse.
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eloppement un peu théorique mais intelligent d’un
problème
que l’on pressent trop complètement résolu dès les premières pages, m
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ée par lui, — comme la poésie. C’est ainsi que le
problème
de l’Urbanisme se place au croisement des préoccupations esthétiques
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uer et s’imposer pourtant. M. Lecache présente le
problème
juif avec une obstination à ne rien cacher qui le mène profond. Une f
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ivre attrayant sur une vie manquée n’était pas un
problème
aisé : Guy de Pourtalès l’a résolu d’une façon fort adroite mais non
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e roman de M. Jullien de Breuil effleure un autre
problème
de non moindre valeur tragique : le conflit de la jeunesse d’après-gu
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ce monde, — j’entends : leur monde, avec leurs «
problèmes
du plus haut intérêt », le « prix de l’action » et leur morale qui ne
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sède. On peut dire de sa critique qu’elle pose le
problème
de l’homme dans sa totalité, et c’est je crois l’éloge de choix. Mais
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é, et c’est je crois l’éloge de choix. Mais de ce
problème
central, qui déborde le plan esthétique, la littérature ne constitue
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, tant il y apporte de pressante intuition, les «
problèmes
» qui contraignirent tel génie à produire son œuvre. Le danger de cet
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cette méthode, c’est que, donnant un nom à chaque
problème
, l’« hypostasiant » en quelque mesure, elle risque de nous laisser l’
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qu’il rencontre, là où le créateur, supposant le
problème
résolu (Racine), fait une œuvre d’art. Ou bien encore, l’artiste, usa