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tre vers la profondeur, vers la culture, vers ces
problèmes
que le grand nombre a toujours fuis, partout. Peut-être alors les mas
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croirait que l’union de l’Europe se réduit à des
problèmes
de tarifs douaniers et d’intérêts commerciaux. J’estime donc opportun
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onc opportun de rappeler les vraies dimensions du
problème
, et en insistant sur ses aspects culturels et mondiaux. Je pars d’un
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es conditions de succès : elles nous ramènent aux
problèmes
culturels. L’Europe du plan économique a besoin de centaines de milli
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s qui ont fait notre culture et sa vitalité. ⁂ Le
problème
européen étant ainsi posé ou reposé à partir des réalités de notre cu
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plan économique et commercial, mais s’étendre aux
problèmes
immenses et tout nouveaux que posent le contact des cultures, la tech
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00, comme font toutes les autres voitures, pas un
problème
de dépassement, pas une injure, le ciel est bleu, les voies sont larg
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s’ouvrent, cela existe… (2-3 février 1963)q Le
problème
« d’exprimer ce que cela veut dire d’être d’Yverdon, de Féchy » relèv
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es pieds d’un autre), mais comment ne pas voir le
problème
? Aujourd’hui déjà, notre vie est balisée de feux verts, de feux roug
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la religion seraient venues surajouter leurs faux
problèmes
… Cette illusion touchante peut les aider à vivre, mais non pas à comp
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ralité des langues, Dante a posé implicitement le
problème
beaucoup plus général de ce qui divise les hommes depuis l’aube des t
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xorablement, le spécialiste. Essayons de poser le
problème
dans son ensemble, à l’échelle planétaire. Nous assistons, me semble-
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voici de moins en moins armés pour y répondre. Le
problème
qu’on soulève ici, et qui est celui du principe de cohérence de notre
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en discutent sachent que la dialectique de leurs
problèmes
actuels sur le temps, la matière et sa constitution, est étrangement
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Un savoir en progression géométrique Le grand
problème
que l’Europe seule me paraît en mesure de résoudre, parce qu’elle seu
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et du Divers également réels et valables, dont le
problème
des relations entre savoirs spécialisés et synthèse de nos connaissan
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seule possible et désirable. Comment résoudre ce
problème
dans le cadre qui nous intéresse ici, celui de l’Université ? Trois s
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’une discipline particulière va déboucher sur des
problèmes
qui relèvent d’autres disciplines, parfois connexes mais souvent très
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éconiser, si nous voulons tenter de faire face au
problème
posé par l’accroissement babélique de la spécialisation. Ces prix
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de la spécialisation. Ces prix Nobel Sur le
problème
de l’explosion des effectifs universitaires, je n’aurais guère à prop
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est petit, y compris les universités. Mais sur le
problème
de l’explosion du savoir, dont je vous ai plus longuement entretenu,
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e et privée de l’unité culturelle en question. Le
problème
des possibles convergences entre l’Orient et l’Occident, c’est-à-dire
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Université, et l’une ne peut se désintéresser des
problèmes
de l’autre. 7. Je propose que l’on traite ces problèmes par la métho
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es de l’autre. 7. Je propose que l’on traite ces
problèmes
par la méthode fédéraliste, dont je vais donner le principe. 8. Défin
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exigent la dimension continentale, etc. Tous les
problèmes
des écoles professionnelles ou facultés devraient être revus à l’aide
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La Haye en 1948 je me suis beaucoup penché sur ce
problème
de l’union des Européens sur la base d’une unité déjà existante. Je f
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dans le cas de la Bretagne ou de la Catalogne. Le
problème
n° 1 de l’Europe, c’est l’union. Si l’union de l’Europe ne se fait pa
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es et économistes français s’étant penchés sur ce
problème
. L’union mondiale ne sera concevable que s’il existe une solide fédér
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ceux-ci peu à peu tomberont en désuétude. Si les
problèmes
mondiaux dépendent en grande partie de la solution des problèmes euro
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aux dépendent en grande partie de la solution des
problèmes
européens, c’est que l’unité du genre humain est une invention des Eu
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smes et aux guerres d’extermination de races. Les
problèmes
les plus importants sont à la racine d’ordre philosophique ou religie
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parlers franco-allemands ont montré l’urgence des
problèmes
européens. À cette occasion nous présentons l’activité de Denis de Ro
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me est composé de telle façon que tous les grands
problèmes
d’actualité seront traités par d’éminents spécialistes en matière pol
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ue la solution se trouve dans les termes mêmes du
problème
ainsi formulé : car l’unité différenciée se traduit tout naturellemen
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s. Elles empêchent simplement de bien traiter ces
problèmes
. Ce statut des frontières, doublement déficient, est caractéristique
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ités économiques intelligibles. Je ne sais si les
problèmes
profonds que pose leur balance commerciale (laquelle ne saurait être
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pays à la fois…) ne sont pas le type même de faux
problèmes
, résultant de la seule fiction d’économies dites nationales, qui ne c
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taires et personnelles. Si sérieux que soient les
problèmes
de prix du lait, du blé ou du vin, il est clair que l’Europe des marc
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ar nos paysages, notre air, nos libertés. Mais le
problème
actuel se trouve posé par la soudaineté d’un afflux qui prend l’allur
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isse ? Permettez-moi de confesser d’abord que le
problème
qui me préoccupe est beaucoup moins celui du oui ou du non, que celui
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me n’a jamais été ni pu être une « solution » aux
problèmes
de la Suisse, pour la simple raison qu’il l’a faite et que seul il la
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posées au peuple suisse, huit au moins posent des
problèmes
économiques auxquels les citoyens n’ont pas été préparés. En étudiant
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pandue, que j’ai mis deux de mes étudiants sur le
problème
. Ils ont trouvé que les manuels d’histoire et de géographie des année
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ercle vicieux : chercher l’origine nous ramène au
problème
de la poule et de l’œuf… Il faut agir aux deux niveaux à la fois. Que
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laire. Mais ils ne peuvent jamais faire face à ce
problème
. Il faudrait qu’ils puissent s’arrêter, sortir de l’urgent et du quot
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e à l’Université : je ne creuse jamais si bien un
problème
que quand je dois le présenter à mes étudiants. « Illich est trop
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efforts individuels ne suffisent pas. Mais si le
problème
est attaqué par les deux bouts à la fois, alors peut-être… Le princip
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n sa loi. Il est d’autres centres du monde où les
problèmes
de la survie d’un lieu sublime se posent en des termes semblables. Ai
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l’expérience des centrales nucléaires et de leurs
problèmes
majeurs (comme celui des déchets) était pratiquement nulle en Suisse.