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France, mais du point de vue des valeurs vitales (
problème
que notre xviie siècle se devait de ne pas poser). L’homme antique p
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oétique. 1. Obscurité : Kassner ne pose pas les
problèmes
dans nos catégories psychologiques. Il prend tout par des biais qui n
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r un juste compte, il s’agit de le subordonner au
problème
personnel de ces vies, à leur équation d’existence, pourrait-on dire.
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x autres11… L’homme n’est pas né pour résoudre le
problème
de l’univers, mais bien pour rechercher où tend ce problème, et ensui
5
e l’univers, mais bien pour rechercher où tend ce
problème
, et ensuite se maintenir entre les limites de l’intelligible »12. L’o
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» et multiple, ses incidences fréquentes dans les
problèmes
du temps et de tous les temps : la musique occidentale, les méfaits d
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trop parfait, « qui supprime les plus angoissants
problèmes
, à force de les éclaircir », et l’impureté d’un humanisme que l’on cr
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ses plus loyaux efforts, à se passionner pour le
problème
de la fonte, qui est le problème dominant dans cette région de la Sib
9
ssionner pour le problème de la fonte, qui est le
problème
dominant dans cette région de la Sibérie. Entre eux, une jeune et tou
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tion correcte et à mon sens parfaitement vaine de
problèmes
qui n’empêchent personne de dormir, diminue nettement dans ce tome IV
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use dont l’auteur fait preuve dans l’attaque d’un
problème
entre tous urgent. Il se pourrait d’ailleurs que l’apparence brutale
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impuissance à résoudre ce que j’appellerais le «
problème
des gens », qui est moins grandiose et beaucoup plus encombrant… t.
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’elle embrasse avec une familiarité poignante les
problèmes
de la vie banale. Il y a dans ce passage perpétuel de l’abstrait au c
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— contre les « petits personnalistes » — que les
problèmes
de l’homme, et de l’esprit, ne se poseraient plus durant le prochain
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ançais fait confiance pour l’aider à résoudre les
problèmes
de la paix, de la liberté et du pain des hommes »ad. À vrai dire, nou
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esse à leurs « idées », à leur situation, à leurs
problèmes
, — et que j’en fais parfois la matière même de mon travail. J’ai quel
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l s’agit quand je parle d’eux précisément, et des
problèmes
qui intéressent leur existence. J’aurais beau leur expliquer chaque t
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r une explication parallèle par le langage, autre
problème
fondamental pour un enfant. Les deux hypothèses rendent compte de la
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ification et la Dérision. Mais ici se poserait le
problème
de la version française du conte ; celle de René Bour me paraît scrup
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ne « Diète » de gouvernements égaux, qui régla le
problème
à l’avantage matériel de l’Allemagne, mais sur une base d’arbitrage i
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essentiellement biographique. Mais ici se pose le
problème
de la vérité du portrait, Gide note lui-même dès 1924 : « Si plus tar
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et cela me paraît nouveau, constamment occupé de
problèmes
religieux. Mais d’une manière qu’il importerait de spécifier. ⁂ A-t-o
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convertisseurs. Il faudrait voir que pour lui, le
problème
proprement religieux s’est posé, et se pose encore, dans des termes q
24
rtains chrétiens désireraient lui « révéler ». Le
problème
de la conversion devient pour lui le problème négatif du refus de la
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Le problème de la conversion devient pour lui le
problème
négatif du refus de la fausse conversion, ou de la conversion trop «
26
ors seulement pourrait se poser en termes nets le
problème
de l’église visible, de l’obéissance à une orthodoxie qui ne prétende
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che de prendre position non sans légèreté sur des
problèmes
infiniment complexes (tel le communisme, naguère), je pense qu’on le
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e. Non point par préférence, loin de là. Mais les
problèmes
qui se posent à nous, nous n’avons pas pu les choisir, et encore moin
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t. ⁂ Peu d’hommes m’ont donné l’impression que le
problème
religieux existait dans leur vie en tant que problème permanent. Écar
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lème religieux existait dans leur vie en tant que
problème
permanent. Écarté, refoulé chez les uns ; et chez les autres résolu,
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avons les témoignages, mais il restait, pour lui,
problème
. Gide avait peu d’instinct religieux, et moins encore de goût pour la
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ture. Elles expliquent simplement l’insistance du
problème
aux stades les plus variés de l’évolution de Gide. Ce qui l’a vraime
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ives interprétées par un Parti. C’est pourquoi le
problème
religieux, tel qu’il se pose au monde christianisé, et à lui seul, li
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e l’Histoire et la personne humaine. Ceci pose un
problème
encore neuf. 4. Être ou non dans l’Histoire Tout d’un coup (dan
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déjà l’intelligentsia de l’Inde se préoccupe des
problèmes
qui lui sont imposés par la technique et par l’hygiène occidentales,
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ne… Mais l’Oriental sourit et nous laisse « nos »
problèmes
. Trois écoles de l’amour Si l’amour est le premier moteur non s
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bouddhistes. Du même coup se trouvent évacués les
problèmes
de l’amour de soi-même et de l’amour de Dieu et du prochain : faute d
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prochain : faute de protagonistes bien réels, ces
problèmes
ne sauraient avoir lieu. (Ou tout au moins, pris au sérieux.) L’amour
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ique, l’érotisme et l’amour du prochain, sont des
problèmes
occidentaux, posés à tous par les rigueurs mal tolérées de dogmes et
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960, p. 31. 64. Sur les solutions proposées à ce
problème
par l’Inde, le taoïsme, et le bouddhisme tibétain, voir Alexandra Dav