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tteint au fond de l’inconscient, ils formulent le
problème
crucial qui se pose à tous les mystiques. Albert Béguin lui-même nou
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’ineffable qu’ils vivaient. Et ceci nous amène au
problème
central : celui de l’expression d’un indicible. Il nous faut dépasser
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tre vers la profondeur, vers la culture, vers ces
problèmes
que le grand nombre a toujours fuis, partout. Peut-être alors les mas
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ce. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les
problèmes
que lui pose l’économie moderne. Les conclusions que l’on doit tirer
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rte, tant que nous n’aurons pas résolu les grands
problèmes
économiques. Nous sommes un certain nombre à penser qu’au contraire,
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n nombre à penser qu’au contraire, la plupart des
problèmes
économiques resteront insolubles en fait, tant que nos plans politiqu
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d’une régie fédérale des houillères (solution du
problème
de la Ruhr). On doit attendre avec curiosité le résultat des discussi
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tournée vers les créations nécessaires. Le grand
problème
qui passe ainsi au premier rang, c’est celui de la source et des fond
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t, s’ignorent mutuellement. Partout se posent des
problèmes
qui restent insolubles dans le cadre trop étroit de chaque nation et
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t de chaque nation et de chaque budget national :
problèmes
des recherches atomiques, du cinéma, de la télévision, des intellectu
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ainement plus militant, étant donné l’urgence des
problèmes
à résoudre. Troisièmement, l’on constate qu’aucun de nos instituts cu
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s dieux se conçoit dans leur ordre et sans autres
problèmes
, la faim n’étant qu’un ennemi. L’Occidental, qui ne se connaît plus,
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es heures de débats, il devient évident que leurs
problèmes
s’énoncent dans les mêmes termes qu’en Europe. Il y a ceux qui pensen
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de la danse que l’animal par ses instincts. Sans
problèmes
, sans contradictions, sans dualité dans la conscience, donc sans aucu
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tous ces ordres. Elle créerait un champ libre aux
problèmes
personnels, aux risques permanents de la personne, à ses échecs dans
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nde paraît manquer de consistance. Nous avons des
problèmes
, l’Inde est problèmes. Je n’ai guère parlé que du plus intime d’entre
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consistance. Nous avons des problèmes, l’Inde est
problèmes
. Je n’ai guère parlé que du plus intime d’entre eux, tel que j’ai cru
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une invasion. Et ainsi de suite… Presque tous ces
problèmes
me semblent insolubles. Il faut donc aider l’Inde, mais qui le peut ?
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e que ces forces et ces réalités étaient pour eux
problèmes
, contestations, conceptions idéales ou nostalgies. Condition du «
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suffire, semble-t-il, à clarifier un terme que le
problème
européen et nos situations nationales nous amènent à utiliser quotidi
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d’abord, trois définitions. Je propose d’appeler
problème
fédéraliste une situation dans laquelle s’affrontent deux réalités hu
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offre et la demande dans un prix.) L’ensemble des
problèmes
et des solutions ainsi définis constitue ce que je nommerai la politi
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là qui est proprement occidental : devant ce même
problème
de l’Un et du divers, les métaphysiques orientales prennent le parti
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rne où l’on retrouve les structures typiques d’un
problème
fédéraliste. À la base de notre analyse, plaçons une conception de l’
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l’autre — l’autonomie. Quelques exemples : 1. Le
problème
des universités résulte d’un couple d’exigences contradictoires, qui
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la spécialisation et la culture générale. 2. Les
problèmes
actuels de l’habitat et de l’urbanisme résultent de la croissante dif
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Au niveau de la vie civique et politique, tout le
problème
revient à concilier les besoins contraires mais vitaux d’autonomie lo
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plus grand ensemble, en association. 4. Enfin, le
problème
général de l’œcuménisme n’est-il pas le même en sa forme que ceux que
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l’étymologie — que nous allons enfin retrouver le
problème
classique du fédéralisme : comment assurer la cohésion d’un ensemble