1 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
1 tteint au fond de l’inconscient, ils formulent le problème crucial qui se pose à tous les mystiques. Albert Béguin lui-même nou
2 ’ineffable qu’ils vivaient. Et ceci nous amène au problème central : celui de l’expression d’un indicible. Il nous faut dépasser
2 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
3 tre vers la profondeur, vers la culture, vers ces problèmes que le grand nombre a toujours fuis, partout. Peut-être alors les mas
3 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
4 ce. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les problèmes que lui pose l’économie moderne. Les conclusions que l’on doit tirer
5 rte, tant que nous n’aurons pas résolu les grands problèmes économiques. Nous sommes un certain nombre à penser qu’au contraire,
6 n nombre à penser qu’au contraire, la plupart des problèmes économiques resteront insolubles en fait, tant que nos plans politiqu
7 d’une régie fédérale des houillères (solution du problème de la Ruhr). On doit attendre avec curiosité le résultat des discussi
4 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
8 tournée vers les créations nécessaires. Le grand problème qui passe ainsi au premier rang, c’est celui de la source et des fond
5 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
9 t, s’ignorent mutuellement. Partout se posent des problèmes qui restent insolubles dans le cadre trop étroit de chaque nation et
10 t de chaque nation et de chaque budget national : problèmes des recherches atomiques, du cinéma, de la télévision, des intellectu
11 ainement plus militant, étant donné l’urgence des problèmes à résoudre. Troisièmement, l’on constate qu’aucun de nos instituts cu
6 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
12 s dieux se conçoit dans leur ordre et sans autres problèmes , la faim n’étant qu’un ennemi. L’Occidental, qui ne se connaît plus,
13 es heures de débats, il devient évident que leurs problèmes s’énoncent dans les mêmes termes qu’en Europe. Il y a ceux qui pensen
14 de la danse que l’animal par ses instincts. Sans problèmes , sans contradictions, sans dualité dans la conscience, donc sans aucu
15 tous ces ordres. Elle créerait un champ libre aux problèmes personnels, aux risques permanents de la personne, à ses échecs dans
16 nde paraît manquer de consistance. Nous avons des problèmes , l’Inde est problèmes. Je n’ai guère parlé que du plus intime d’entre
17 consistance. Nous avons des problèmes, l’Inde est problèmes . Je n’ai guère parlé que du plus intime d’entre eux, tel que j’ai cru
18 une invasion. Et ainsi de suite… Presque tous ces problèmes me semblent insolubles. Il faut donc aider l’Inde, mais qui le peut ?
7 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
19 e que ces forces et ces réalités étaient pour eux problèmes , contestations, conceptions idéales ou nostalgies. Condition du « 
8 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
20 suffire, semble-t-il, à clarifier un terme que le problème européen et nos situations nationales nous amènent à utiliser quotidi
21 d’abord, trois définitions. Je propose d’appeler problème fédéraliste une situation dans laquelle s’affrontent deux réalités hu
22 offre et la demande dans un prix.) L’ensemble des problèmes et des solutions ainsi définis constitue ce que je nommerai la politi
23 là qui est proprement occidental : devant ce même problème de l’Un et du divers, les métaphysiques orientales prennent le parti
24 rne où l’on retrouve les structures typiques d’un problème fédéraliste. À la base de notre analyse, plaçons une conception de l’
25 l’autre — l’autonomie. Quelques exemples : 1. Le problème des universités résulte d’un couple d’exigences contradictoires, qui
26 la spécialisation et la culture générale. 2. Les problèmes actuels de l’habitat et de l’urbanisme résultent de la croissante dif
27 Au niveau de la vie civique et politique, tout le problème revient à concilier les besoins contraires mais vitaux d’autonomie lo
28 plus grand ensemble, en association. 4. Enfin, le problème général de l’œcuménisme n’est-il pas le même en sa forme que ceux que
29 l’étymologie — que nous allons enfin retrouver le problème classique du fédéralisme : comment assurer la cohésion d’un ensemble