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elle nous croyons distinguer une évasion hors des
problèmes
qui se posent et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loi
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n-Bicêtre… Et je pus constater que les données du
problème
avaient un peu changé, — si vous me permettez cet euphémisme académiq
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z abstraite. Me voilà bien loin, pensez-vous, des
problèmes
concrets que pose la cité. Encore un qui s’évade ! Encore un qui déco
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sont en train de penser cela. Avant d’aborder le
problème
de l’action politique du chrétien, je tiens à dire deux mots concerna
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ent peuvent-ils encore éluder si cavalièrement le
problème
dernier de l’action ? Et je demande encore : qui donc osera poser ces
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e de sa transformation. Ici se posent deux grands
problèmes
pratiques : est-il possible et nécessaire, partant de cette vocation,
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fait de leur foi, des lumières spéciales sur les
problèmes
techniques que pose la vie de la cité moderne. Je ne crois pas qu’il
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gande, la nécessité vitale de simplifier tous les
problèmes
, de juger selon des besoins utilitaires plutôt que selon les exigence
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ontraire en cherchant à les comparer. Le deuxième
problème
à envisager est celui d’une collaboration plus étroite entre l’Église
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le pur qu’il conviendrait de partir pour poser le
problème
qui vous occupe dans ses termes les plus actuels ? i. « Les protest