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ILe
problème
de la culture Qu’est-ce qu’un problème ? Je me propose d’envis
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ILe problème de la culture Qu’est-ce qu’un
problème
? Je me propose d’envisager dans cet ouvrage le problème de la cul
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Je me propose d’envisager dans cet ouvrage le
problème
de la culture. Lorsque l’on entreprend de lire un livre qui traite d’
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’on entreprend de lire un livre qui traite d’un «
problème
» précis, il est prudent de se demander d’abord si vraiment ce problè
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est prudent de se demander d’abord si vraiment ce
problème
se pose — ou si l’auteur tout simplement s’est amusé à le poser. Il n
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Mais l’invention de l’imprimerie a multiplié les
problèmes
dans une telle proportion qu’il n’est pas raisonnable d’espérer qu’un
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oilà, par exemple, une situation qui nous pose un
problème
réel ! Mais après tout, qu’est-ce qu’un problème ? Est-il sûr que tou
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problème réel ! Mais après tout, qu’est-ce qu’un
problème
? Est-il sûr que tout le monde le sache bien, et qu’il soit superflu
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emple extrême. Pour le croyant, Dieu n’est pas un
problème
, ni la solution d’un problème, mais il est la présence réelle qu’on c
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, Dieu n’est pas un problème, ni la solution d’un
problème
, mais il est la présence réelle qu’on connaît avec assurance dès l’in
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lui obéit. C’est lorsque la foi disparaît que le
problème
de Dieu se pose — éternellement insoluble. Ou bien Dieu est présent,
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e souverain ; ou bien il se retire, et devient un
problème
. Problème signifie donc absence, recherche anxieuse d’une réalité qu
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; ou bien il se retire, et devient un problème.
Problème
signifie donc absence, recherche anxieuse d’une réalité qui se dérobe
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ne commande plus rien à l’homme. Multitude des
problèmes
Les choses humaines ne comportent pas cette alternative absolue. N
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Il ne faut donc pas s’étonner de la multitude des
problèmes
que nous sommes en état de poser, sinon de résoudre du tout. (Mais la
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âti, autre chose est de découvrir que soudain des
problèmes
se posent, qui débordent l’ordre établi et qui minent ses fondements.
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u’alors avaient régi l’action. Quand la masse des
problèmes
qui se posent se révèle soudain plus pesante que les forces qui sont
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font jour. Et c’est pourquoi le simple fait qu’un
problème
se pose, et qu’on l’avoue, est souvent beaucoup plus important que le
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ant que les solutions qu’on lui propose. Ainsi le
problème
de la culture. (Quelqu’un demande : à quoi sert-elle ? et déjà la cri
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ter tout d’abord sur l’existence parmi nous de ce
problème
, sur l’inquiétude qu’il trahit, sur la crise de confiance qu’il révèl
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isance de nos refus Si la culture nous pose un
problème
, c’est donc, et tout d’abord, qu’elle est en décadence. Or, on n’arrê
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as une décadence en essayant de résoudre les faux
problèmes
ou les problèmes sans issue qu’elle a fait naître. C’est ce que la sa
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en essayant de résoudre les faux problèmes ou les
problèmes
sans issue qu’elle a fait naître. C’est ce que la sagesse populaire t
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bien nouveau, d’un bien qui, lui, ne pose pas de
problèmes
, mais qui donne des ordres, et la force, et la joie de les accomplir.
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politique ou qu’un brasseur d’actions traite les
problèmes
spirituels les plus graves de « simples questions de mots », et les é
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me plus détendu. ⁂ J’ai constaté l’existence d’un
problème
: le problème de la culture. J’ai dit que tout problème réel se pose
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u. ⁂ J’ai constaté l’existence d’un problème : le
problème
de la culture. J’ai dit que tout problème réel se pose à nous à parti
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me : le problème de la culture. J’ai dit que tout
problème
réel se pose à nous à partir du moment où son objet (Dieu, la culture
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tif. Ensuite, que l’aveu même de l’existence d’un
problème
est déjà un essai de le résoudre, et la preuve qu’on pressent sa solu
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héant — car la plupart n’ont jamais réfléchi à ce
problème
—, pour définir la culture comme un acquis spirituel à transmettre. C
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Ainsi nos mots se déforment entre nos mains, nos
problèmes
se déplacent au hasard, chacun joue sa partie comme il le peut, sans
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t longtemps. Ils retrouveront avant longtemps nos
problèmes
spirituels. Toute la question est alors de savoir si nous les aurons
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a fameuse primauté du matériel n’est nullement un
problème
philosophique ; car de ce point de vue là, précisément, elle est d’un
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s contacts du régime avec le domaine culturel. Le
problème
s’est donc posé dans tous les cas sous la forme très simple d’une mis
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semblance formelle entre les moyens d’approche du
problème
culturel mis en œuvre par les deux régimes, alors que leurs fins sont
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la race. Vous vous êtes refait un corps. Mais les
problèmes
spirituels n’ont pas été résolus pour autant. Vous avez reculé la que
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unité intime de la pensée et de l’action. Tout le
problème
de la commune mesure se ramène alors à ceci : quelle est cette vérité
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losophe ne manquera pas de dire que j’entraîne le
problème
à une profondeur telle qu’il n’en pourra jamais remonter. Reste à sav
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cile. Si nous refusons de descendre au cœur de ce
problème
, qui est un problème métaphysique et religieux, nous nous condamnons
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s de descendre au cœur de ce problème, qui est un
problème
métaphysique et religieux, nous nous condamnons en même temps à ne ja
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s États libéraux. J’écris ce livre et je pose ces
problèmes
dans l’optique des États libéraux. Qu’on n’entende point par là que j
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laboration — qui aboutit forcément à dénaturer le
problème
, pour peu que ce soit un problème vivant —, il arrive que les données
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à dénaturer le problème, pour peu que ce soit un
problème
vivant —, il arrive que les données changent, et que l’urgence s’évan
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: distributeurs de résultats acquis, registres de
problèmes
qui ne se posent plus : cette administration nourrit fort bien son mo
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iennes, subtilité excessive dans la tractation de
problèmes
qui ne se posent pas, que l’on pose par jeu, par anxiété de faible ou
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ste d’avoir dénoncé, la première, l’irréalité des
problèmes
dont s’embarrasse la conscience distinguée, camouflage intérieur dont
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ectuelle consiste au bout du compte à récuser les
problèmes
fondamentaux de la vie pratique et de la vie religieuse. « Les grande
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eur peuple et de ses plus profonds instincts ? Le
problème
est nouveau. Il est mieux qu’amusant. Les disciplines de la pensée
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il vaut la peine de réfléchir sérieusement sur un
problème
qui se pose à tout homme préoccupé de la valeur concrète de sa pensée
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de la valeur concrète de sa pensée, j’entends le
problème
que pose la liaison de l’étatisme et d’une culture irresponsable. Fau
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culture irresponsable. Faut-il marquer qu’un tel
problème
déborde largement le plan des controverses politiques où le maintient
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respect pour ceux qui posent et qui résolvent le
problème
avec une brutalité souvent naïve, endossant loyalement le risque de l
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doute, une allusion à l’infinie complexité de nos
problèmes
; tous ceux qui cherchent un refuge dans l’idéal quand il faudrait ag
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e que le bourgeois comme tel ? C’est l’homme sans
problèmes
réels. Et qu’est-ce qu’un problème réel ? C’est une situation qui n’a
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l’homme sans problèmes réels. Et qu’est-ce qu’un
problème
réel ? C’est une situation qui n’a pas d’autre issue que l’acte perso
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rsonnel, ou le jugement transcendant. Il n’y a de
problème
réel que de la création et de la fin, c’est-à-dire des extrêmes. Quan
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pose pour la première fois dans notre histoire le
problème
global de la culture : d’où vient-elle ? — qu’est-elle ? — où va-t-el
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heur de l’homme vient de ce qu’il ne pose pas les
problèmes
dans leur réalité, c’est-à-dire qu’il se pose de faux problèmes, qui
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leur réalité, c’est-à-dire qu’il se pose de faux
problèmes
, qui admettent une infinité de solutions, tantôt purement figurées, t
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quoi ne peuvent conduire et obliger que les vrais
problèmes
, les problèmes insolubles, ceux qu’il faut être un homme pour tranche
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conduire et obliger que les vrais problèmes, les
problèmes
insolubles, ceux qu’il faut être un homme pour trancher. Tout le malh
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u d’une pensée active sera donc de s’attacher aux
problèmes
qui se posent et non pas à ceux que l’on suppose (sinon pour démontre
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cela seulement contre les douteurs qui se font un
problème
de tout ce qu’ils n’oseraient pas envisager, c’est-à-dire voir en fac
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es de pensée.) Quand nous reconnaîtrons les vrais
problèmes
, les vrais dilemmes que pose la vie commune, nous toucherons enfin le
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us sûr effet est de nous empêcher d’envisager les
problèmes
derniers. Je ne dis pas que ses victimes n’y croient pas, mais je sai
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er dans une sécurité où elle végète et récite ses
problèmes
inoffensifs. Et pourtant la violence véritable, qui n’est pas la brut
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oire que les solutions par l’ingéniosité de leurs
problèmes
intellectuels peuvent servir de modèle à l’homme d’action, moyennant
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pier imprimé ! Mais ce n’est là qu’un aspect d’un
problème
plus vaste. Penser avec les mains suppose que le penseur rende au lan
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c’est-à-dire à ses illusions. ⁂ Mais revenons au
problème
particulier de l’expression. Le donné, ou l’abandonné, ou encore les
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tionné par leur action, par la structure même des
problèmes
qu’ils traitent, non point par des modèles flatteurs ? Plus simplemen
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n effort dans ce sens ? Considéré de la sorte, le
problème
du style déborde infiniment le domaine, ici symbolique, de l’expressi
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ression : il devient ce qu’on pourrait appeler le
problème
de l’hypocrisie des formes. J’en donnerai deux exemples. On a remarqu
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une tentation. Quand cesserons-nous d’agiter des
problèmes
qui n’ont jamais été notre problème ? Car un problème n’est jamais ré
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d’agiter des problèmes qui n’ont jamais été notre
problème
? Car un problème n’est jamais réel que pour celui qui peut l’incarne
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èmes qui n’ont jamais été notre problème ? Car un
problème
n’est jamais réel que pour celui qui peut l’incarner dans sa vie, le
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bien périr par lui. Il n’y a pas au monde un seul
problème
dont la réalité dernière, dont l’existence concrète déborde les limit
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es qui aimaient à dire : « La solution des grands
problèmes
sociaux est une question de morale individuelle. » L’originalité d’un
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e que viennent en fin de compte retentir tous les
problèmes
sociaux et spirituels. C’est en elle qu’ils provoquent un écho vérita
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e aussi quelques primaires, se figurent qu’un tel
problème
ressortit aux règles de l’art. Nous l’avons ramené à des conflits éth
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Par ces voies, nous sommes parvenus au centre des
problèmes
du monde moderne, en même temps qu’au foyer rayonnant de toute éthiqu
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l importe absolument d’insister sur le concret du
problème
. Le vice des dictatures modernes est d’avoir soumis l’aspect concret