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ne peut être esquivée. Elle nous porte au cœur du
problème
et de son actualité. Précisons que les règles chevaleresques qui joua
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drame, un roman. Et romantisme vient de roman… Le
problème
s’élargit magnifiquement — et mon cas empire d’autant. Je dirai mes r
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danger. Elle nous met en effet au cœur de tout le
problème
— et sa portée dépasse sans aucun doute le cas particulier de notre m
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’est responsable de rien… Imaginons maintenant le
problème
qui se posait à l’auteur du Roman primitif. De quel matériel symboliq
5
ent en dehors de la géographie ? En présence d’un
problème
aussi complexe, et en l’absence de toute réponse satisfaisante, c’est
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mal connue Si elle n’était pas connue du tout, le
problème
du lyrisme provençal resterait totalement obscur, comme il ressort de
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ène à reconnaître enfin la réelle complexité d’un
problème
dont nous avons souligné jusqu’ici, non sans une volontaire partialit
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ns en Occident et dans le Proche-Orient les mêmes
problèmes
. L’orthodoxie musulmane, pas plus que la catholique, ne pouvait admet
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ue l’on soit en mesure de résoudre aujourd’hui ce
problème
. S’il est une voie de transmission géographique, c’est du côté de l’E
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r le parallélisme des formes, des contenus et des
problèmes
dans le monde de l’islam et dans le monde courtois, l’on aura du moin
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Livre IIIPassion et mystique 1.Position du
problème
On a souvent tenté d’expliquer le mysticisme en le « ramenant » à
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générales. Mais il permet au moins de reposer un
problème
que le xixe siècle matérialiste s’était cru en mesure de trancher au
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ique. À vrai dire, je ne suis pas très sûr que ce
problème
comporte une solution définitive et simple. Mais il me paraît importa
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continué » ? Quand bien même ce serait le cas, le
problème
ressurgit ailleurs. Marquons tout de suite ce qui le rend inévitable
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comme disait à peu près Schopenhauer. Prenons le
problème
tel que nous le pose le mythe, et tel qu’il se posait au xiie siècle
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a métaphore. Je ne songe pas à nier cet aspect du
problème
, il sera traité en son lieu. Mais je crois qu’il y a bien autre chose
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t encore de nos jours. Je ne puis examiner ici le
problème
des rapports entre ce fonds de légendes celtiques et la littérature a
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ce, la plus franche — il supprime simplement tout
problème
, grâce à sa théorie de la cristallisation, donc de l’erreur. Ce qui e
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s qu’à l’intérieur et à la base, on stérilise les
problèmes
personnels, à l’extérieur et au sommet le potentiel de passion s’accr
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s : Ou bien ce sera la guerre à bref délai, et le
problème
de la passion sera supprimé avec la civilisation qui l’a fait naître
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l’a fait naître ; Ou bien ce sera la paix, et le
problème
renaîtra dans les pays totalitaires, comme il ne cesse de nous travai
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coexistence dans nos vies surgissent sans fin des
problèmes
insolubles, et ce conflit menace en permanence toutes nos « sécurités
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ivres, aggravant au contraire notre conscience du
problème
, contribuent à le rendre insoluble. Ils sont les signes de la crise,
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lan dans les pays démocratiques, et par suite les
problèmes
individuels déterminent de plus en plus le choix réciproque des conjo
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ez difficile de définir en général le bonheur, le
problème
devient insoluble dès que s’y ajoute la volonté moderne d’être le maî
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nsi l’on passe avec une feinte légèreté à côté du
problème
fondamental. « Il faut se faire lire et gagner la confiance ; on ne r
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stes et eugéniques, et dans une atmosphère où les
problèmes
individuels tendaient à perdre toute espèce de dignité, de légitimité
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les Églises non romaines) ont également touché le
problème
. 191. Il serait curieux de retrouver quel est l’auteur — évidemment
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videmment moderne — qui a parlé le premier d’un «
problème
sexuel ». Fourier peut-être ? Ou Proudhon ? 192. En réalité, des phé
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du Peuple ! Mais pour moi, ici et maintenant, le
problème
ne comporte pas d’échappatoire dans le temps à venir. S’il n’est peut
31
ntion de résoudre d’un coup, en une seule vie, le
problème
de l’adaptation de deux êtres physiques et moraux des plus hautement
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ureux ».) Il faut le reconnaître honnêtement : le
problème
qui nous est posé par la nécessité pratique du mariage apparaît d’aut
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chances de bonheur, on détourne leur attention du
problème
proprement éthique. En tentant de réduire ou de dissimuler le caractè
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mariage en faisant de la promesse de fidélité un
problème
, alors que le problème ne devrait se poser qu’à partir de cette prome
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la promesse de fidélité un problème, alors que le
problème
ne devrait se poser qu’à partir de cette promesse, considérée comme a
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. (De même on fausse la théologie en partant du «
problème
de Dieu » — exactement comme si l’on ne croyait pas — alors que le se
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e si l’on ne croyait pas — alors que le seul vrai
problème
est de savoir comment Lui obéir.) Car la fidélité est sans raisons —
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usion ouverte. J’ai tenté de débrouiller certains
problèmes
posés en termes d’histoire et de psychologie : mais les constatations
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ire croire. De fait, on ne connaît jamais que les
problèmes
dont on pressent au moins la solution, le dépassement. Or le moyen de
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os et Agapè », dans le recueil collectif intitulé
Problèmes
de la sexualité (collection « Présences ») : « Un chrétien peut et do
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ica e Politica. 206. Leo Ferrero, Désespoirs. Le
problème
de la passion est admirablement défini par ce petit livre dans ses do
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sont mariés très jeunes par leurs parents, et le
problème
de l’amour ne se pose pas. Ils n’ont pas à poursuivre toute la vie ce
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1934, p. 193 à 216), M. Étienne Gilson examine le
problème
d’une influence possible de la mystique cistercienne sur les troubado
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immanent sans être transcendant, il n’y a pas de
problème
mystique au sens où les chrétiens l’entendent. Ce qu’ils ont à expéri
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raphique Une bibliographie complète des divers
problèmes
abordés dans cet ouvrage est pratiquement exclue. On n’indiquera ici