1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 ui donnera-t-il une efficacité plus pénétrante ? Problème d’une portée générale, dans un monde où s’installe peu à peu le régim
2 épend de la solution qui sera donnée en fait à ce problème , au cours des mois ou des années qui viennent. Paris, 21 avril 193
3 ène : tout se transpose dans mon esprit en petits problèmes de langage. Il est sans cesse question d’achat et de vente, et je rem
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
4 ts de l’Europe n’ont pas pu résoudre autrement le problème des minorités, allemandes, tchèques, slovaques ou ukrainiennes. Et po
3 1946, Journal des deux mondes. Intermède
5 comparaison, pourtant valable dans le détail des problèmes qui se posaient à la Ligue, assassinats et tortures en moins. Les mêm
4 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 res du soir se groupent autour d’un verre et d’un problème les écrivains, les jeunes professeurs, les logiciens et les théologie
7 bsorba sans le regarder, comme on résout un petit problème de logique pure. Il portait une mouche au menton. Le second était ivr
5 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
8 révèlent une compréhension vraiment poignante des problèmes brutalement posés par cette guerre. Les prudences qui stérilisent le
6 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
9 icité avant de s’asseoir et l’on pose au café des problèmes de roman détective. Les Européens vus d’ici, au travers des questions
10 Fin juillet 1945 Le mensonge allemand. — Au problème juif, la défaite de l’Allemagne est en train d’ajouter le problème al
11 défaite de l’Allemagne est en train d’ajouter le problème allemand. Et celui-ci ressemble à celui-là par plus d’un trait, ne fû
12 ns Allemands », cette histoire vraie pose le vrai problème . Ce n’est pas d’hier que je l’ai observé : les Allemands ne mentent p
13 t il convient de tenir compte quand on parle du «  problème allemand ». Ils mentent avec sincérité, et nous mentons avec mauvaise
7 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
14 planète, non moins réels, guère moins accablés de problèmes . Mais je ne cherche pas à m’en tirer par une réplique, même de bon se
15 ays comme un nouveau costume. Et je me dis que le problème est mal posé. Il ne s’agit ni de « partir » ni de rester, au sens pat
16 sont pas non plus, apparemment, puisqu’on pose le problème . Supposez que nous soyons libres de circuler à notre guise. Je répond
17 le ne régnait pas sur le monde d’après guerre, le problème partir ou rester se résoudrait en termes simples : on verrait vite qu
18 ent tardif de la démence nationaliste dénature le problème humain. Lançons une campagne mondiale pour la suppression des visas,