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ui donnera-t-il une efficacité plus pénétrante ?
Problème
d’une portée générale, dans un monde où s’installe peu à peu le régim
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épend de la solution qui sera donnée en fait à ce
problème
, au cours des mois ou des années qui viennent. Paris, 21 avril 193
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ène : tout se transpose dans mon esprit en petits
problèmes
de langage. Il est sans cesse question d’achat et de vente, et je rem
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ts de l’Europe n’ont pas pu résoudre autrement le
problème
des minorités, allemandes, tchèques, slovaques ou ukrainiennes. Et po
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comparaison, pourtant valable dans le détail des
problèmes
qui se posaient à la Ligue, assassinats et tortures en moins. Les mêm
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res du soir se groupent autour d’un verre et d’un
problème
les écrivains, les jeunes professeurs, les logiciens et les théologie
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bsorba sans le regarder, comme on résout un petit
problème
de logique pure. Il portait une mouche au menton. Le second était ivr
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révèlent une compréhension vraiment poignante des
problèmes
brutalement posés par cette guerre. Les prudences qui stérilisent le
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icité avant de s’asseoir et l’on pose au café des
problèmes
de roman détective. Les Européens vus d’ici, au travers des questions
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Fin juillet 1945 Le mensonge allemand. — Au
problème
juif, la défaite de l’Allemagne est en train d’ajouter le problème al
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défaite de l’Allemagne est en train d’ajouter le
problème
allemand. Et celui-ci ressemble à celui-là par plus d’un trait, ne fû
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ns Allemands », cette histoire vraie pose le vrai
problème
. Ce n’est pas d’hier que je l’ai observé : les Allemands ne mentent p
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t il convient de tenir compte quand on parle du «
problème
allemand ». Ils mentent avec sincérité, et nous mentons avec mauvaise
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planète, non moins réels, guère moins accablés de
problèmes
. Mais je ne cherche pas à m’en tirer par une réplique, même de bon se
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ays comme un nouveau costume. Et je me dis que le
problème
est mal posé. Il ne s’agit ni de « partir » ni de rester, au sens pat
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sont pas non plus, apparemment, puisqu’on pose le
problème
. Supposez que nous soyons libres de circuler à notre guise. Je répond
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le ne régnait pas sur le monde d’après guerre, le
problème
partir ou rester se résoudrait en termes simples : on verrait vite qu
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ent tardif de la démence nationaliste dénature le
problème
humain. Lançons une campagne mondiale pour la suppression des visas,