1
tre surréaliste voulut bien s’interrompre dans un
problème
d’échecs, pour remarquer que la bombe confirmait son point de vue : l
2
le principal de notre Histoire ? Tel est l’un des
problèmes
psychologiques que pose au siècle la bipartition d’un seul atome. Il
3
ns qu’elle le reste longtemps. Car il s’agit d’un
problème
dont la preuve, si elle était jamais administrée, ne pourrait plus in
4
s. En fait, nous sommes devant l’An Mil. Tous les
problèmes
derniers nous sont posés, dans des termes urgents et concrets. Quel e
5
iraient aux tâches courantes — que par le fait du
problème
posé, qui les dépasse comme la Bombe dépasse tout. Devant le monde à
6
t assez ou même trop pour un homme, tandis que le
problème
est mondial. La Bombe est un cas international, qui ne peut être réso
7
et par les socialistes anglais. Moi. — Voilà le
problème
embrouillé à souhait, et je vous vois sourire diaboliquement, à votre
8
ns doute réfléchi sur la liberté. N’est-ce pas le
problème
numéro un de notre temps ? Car les problèmes se posent quand les chos
10
945. …que je n’ai pris de front presque aucun des
problèmes
? (Vous pensiez, je le suppose, à la démocratie.) Et que je m’amuse à
11
avion. Ce n’est rien de traduire une langue : les
problèmes
nationaux restent intraduisibles pour qui ne peut y aller voir et sen
12
r, encore moins tout voir et tout comprendre. Les
problèmes
les plus angoissants de nos compagnons de planète restent pour nous t
14
la grande permission, le grand ajournement de nos
problèmes
, la justification par l’opinion publique de l’irresponsabilité univer