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lle a conduit ce lecteur au carrefour de quelques
problèmes
qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se posent-ils ? Et comm
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peut aider les hommes et prendre au sérieux leurs
problèmes
— jusqu’au bout6 ! II. — En mettant sous une même couverture quelqu
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qu’il faut faire, nous répondent : attention ! le
problème
est plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas si complexes, en r
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ention ! le problème est plus complexe ! Non, les
problèmes
ne sont pas si complexes, en réalité, ou, s’ils le sont, osons les si
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rions-nous un peu plus d’attention pour les vrais
problèmes
de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent di
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tant que parce qu’il vous permet d’éluder le vrai
problème
. » Mais cette réponse simpliste, valable tout au plus contre certaine
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mais la nécessité d’une spiritualité nouvelle. Le
problème
, en tout cas, cesse d’être théorique. Cette spiritualité que Marx n’a
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re reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et le
problème
des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine et à la fin, est
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sur l’attitude des jeunes protestants devant les
problèmes
sociaux et culturels du temps. 19. Illustration politique : à tout s
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. Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui. Le
problème
a été résolu, c’est pourquoi le croyant a le droit de parler avec rés
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ien ne peut pas prendre totalement au tragique le
problème
de l’aménagement des intérêts terrestres. Il les prend au sérieux dan
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rte contraint d’accorder une valeur absolue à des
problèmes
insondablement relatifs. Le chrétien sait pour quoi et pour Qui il co
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de conséquences politiques que si nous posons le
problème
sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas le lieu des d
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u marxisme. Je laisserai de côté, aujourd’hui, le
problème
de la personne chrétienne en face du collectif marxiste. C’est l’oppo
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le marxisme ne peut plus nous apparaître comme un
problème
difficile, une tentation ou un appel à la compromission avec le monde
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quelles fins elle entend justifier ses moyens. Le
problème
des fins humaines est assez clairement posé et résolu par le marxisme
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s que l’école primaire leur a mis dans la tête. —
Problème
d’éducation civique. Incertitude essentielle de toute considératio
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inis : il ne faut pas épauler au hasard. Le grand
problème
de la pensée personnaliste est désormais de créer une tactique déduit
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e de Marx (anarchique), n’a pas tardé à poser des
problèmes
pratiques tout à fait étrangers au but de la révolution. Et ces probl
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à fait étrangers au but de la révolution. Et ces
problèmes
« autonomes » à leur tour se sont révélés si urgents que la doctrine,
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nouveau affirment la nécessité de s’attaquer au
problème
de l’homme même dans la civilisation mécanique. Ainsi, pour être moin
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voir entrevu la possibilité ou l’intérêt d’un tel
problème
. Mais ils ne parlent pas non plus de l’individu ou de la collectivité
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une autorité immédiate, Strasbourg et Genève. Le
problème
ne se pose même pas. Les Églises locales s’organiseront en fédération
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éoccupation de les éduquer. Et vous savez que les
problèmes
d’éducation furent dès le début le grand souci des réformés. Calvin f