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ement devant les auditeurs de la radio : voilà le
problème
qui se pose, voilà ce que nous avons fait, voilà ce qui reste à faire
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ques, l’opinion américaine discute réellement les
problèmes
posés. Elle cherche réellement à les résoudre dans l’intérêt commun,
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Cette familiarité de n’importe qui avec tous les
problèmes
, tous les mystères, toutes les personnes et toutes les situations, a
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dans le bref article que je citais : « Prenez le
problème
du logement. Il y a quelques années, devant un comité du Sénat, la qu
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doux, ils sont naïfs, ils ne comprennent rien aux
problèmes
intérieurs de l’Europe, de quoi se mêlent-ils ? Intimidés, conscients
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us la rubrique revue de la presse — au sujet d’un
problème
qui, semble-t-il, importe moins en soi que ce qu’en disent les partis
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mme dirait Gide, et je savais que quel que fût le
problème
posé, ils resteraient attachés « indéfectiblement », comme des moules
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omme des moules, à leurs vieux principes. Mais le
problème
subsiste et je voudrais qu’on me dise comment le résoudre pratiquemen
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ux rédacteurs d’un journal américain, en plus des
problèmes
d’un grand quotidien, le problème d’une volumineuse revue de vulgaris
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n, en plus des problèmes d’un grand quotidien, le
problème
d’une volumineuse revue de vulgarisation. Ce qui suppose un état-majo
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courage de bouleverser votre manière de poser les
problèmes
, votre vocabulaire critique, vos rythmes et vos procédés. Et pourtant
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— mais on n’atteint pas le public. C’est tout le
problème
du clerc de notre temps, écrivain, doctrinaire politique, ou prédicat
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mour l’attitude de la jeune Amérique vis-à-vis du
problème
des sexes. Si vous tenez entre vos mains ce texte, comme un grapholog
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Américain me disait : — En France, n’importe quel
problème
d’ajustement économique devient aussitôt politique, c’est-à-dire qu’i
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artis s’arrangent en général pour rendre tous les
problèmes
aussi insolubles que leurs principes respectifs sont incompatibles. C
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tre vers la profondeur, vers la culture, vers ces
problèmes
que le grand nombre a toujours fuis, partout. Peut-être alors les mas