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xpliquent et visiteurs qui les découvrent. Peu de
problèmes
en friche, point de grandes controverses. Un ouvrage d’ensemble ne po
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l’avenir. » ⁂ Sur la Suisse d’aujourd’hui et ses
problèmes
— industriels, sociaux et politiques —, il nous faut chercher d’autre
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critique, si c’en est une, que d’avoir résolu ses
problèmes
par des moyens valables pour elle seule. Dans le monde où nous vivons
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ations, puis celle des Nations unies posèrent des
problèmes
mondiaux : que signifiait, à leur échelle, la neutralité suisse tradi
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de lui accorder des subventions, et cela pose un
problème
important pour l’avenir d’un fédéralisme qui se veut communal à la ba
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l’esprit des communes et leur autonomie. Le même
problème
se pose d’ailleurs pour les cantons, dans leurs rapports avec les fin
7
re les États membres et le pouvoir central est le
problème
spécifique de la vie d’une fédération. Dans le cas de la Suisse, cett
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iste, loin d’exiger la solution définitive de ces
problèmes
, implique au contraire le maintien d’un équilibre continuellement réa
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ont les travaux. « Nous butons, me dit-il, sur le
problème
de l’exécutif. — Prenez donc notre formule suisse ! — Qu’est-ce que c
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acteurs obligés de choix qu’on vient de citer, le
problème
risquerait de devenir insoluble. Le candidat dont la personnalité s’i
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déclarations de principes : il faut en venir aux
problèmes
quotidiens. C’est pourquoi, au fait et au prendre, et sans qu’il y ai
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nus, et que l’électeur devrait connaître… Le vrai
problème
ne me paraît pas d’essayer de rallumer on ne sait comment des passion
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de papa, ou de politiser le prix du lait. Le vrai
problème
est de faire comprendre aux électeurs les données de base de notre so
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urs, qui leur échappe très généralement. C’est un
problème
d’éducation civique. Or nous n’avons, dans nos écoles, qu’une « instr
15
s principes de liberté, mais on ne présente aucun
problème
réel, on ne parle jamais des questions qui se posent, de la manière d
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sans scrupules. En En Suisse, nous l’avons vu, le
problème
des minorités ne se pose pas : chaque groupe étant simultanément mino
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nd le mieux aux exigences futures… Pour situer le
problème
, je rappellerai d’abord les constantes naturelles de la Suisse, puis
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cle70,réussite sans exemple en Europe ; et pas de
problèmes
plus graves dans l’immédiat que ceux qui, justement, se trouvent posé
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la masse et le condamnait à la supériorité. » Le
problème
en effet était le suivant : Comment augmenter la valeur de ces produi
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iers d’Espagnols, de Turcs et de Grecs posent des
problèmes
sans précédent aux entreprises, aux communes, et au pouvoir fédéral.
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ilables, ils représentent pour le Suisse moyen un
problème
tout à fait déconcertant, peut-être même une sorte de remords ou d’an
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Que faire ? Réfléchissant sur le commerce et ses
problèmes
, il trouve enfin son point d’attaque : la marge abusive entre les pri
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onstatation des plus simples me semble résumer le
problème
suisse, en cette seconde moitié du xxe siècle. Si l’on considère ce
24
conde moitié du xxe siècle. Si l’on considère ce
problème
du seul point de vue de l’économie, en admettant que cette dernière r
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guère les distinguer.79 Nous rejoignons ici le
problème
initial de ce chapitre : l’économie étant l’agent de l’unification de
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es ; nous allons le regagner avec les autoroutes,
problème
apparemment beaucoup plus difficile, s’agissant de relier tant de pet
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e que ces forces et ces réalités étaient pour eux
problèmes
, contestation, conceptions idéales ou nostalgies. Laissant le Suisse
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t, étant lié à la langue, laquelle ne pose pas de
problèmes
pour le savant, l’architecte ou le musicien) ont été nos meilleurs Eu
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titatives tellement accrues que la nature même du
problème
en est changée. Les universités Une partie décisive de l’avenir
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oulevant et retournant le monde. » Ainsi posé, le
problème
dépasse quelque peu la Suisse et ses autorités scolaires : il met en
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teur de l’humanité. Il ne connaît et n’aime aucun
problème
extrême, et par suite, aucun parti extrémiste. La politique suisse vi
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— et pour le coup, « bien Suisse » — à juger d’un
problème
moins sur son mérite propre (ou contenu) que sur les mérites moraux d
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ne peut que lui donner raison, et puis les vrais
problèmes
se posent, ou plutôt : ils sont encore là, attendant qu’on les examin
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ne fois passés nos examens de conscience. « Quels
problèmes
? », me demande l’Européen qui venait admirer notre libre Helvétie et
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« matérialisme jouisseur, calculateur, éludant le
problème
du sens de la vie »131, d’une existence amortie comme une dette, d’un
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de Malmö ou de Livourne. On pensait que tous ces
problèmes
étaient moins difficiles chez vous, dans vos petits États fédérés. —
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cien nucléaire Hans von Halban, examinant le même
problème
, aboutit à des pourcentages un peu différents, mais la Suisse, selon
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ir l’autonomie de chacun de ses membres, c’est un
problème
parfaitement homologue à celui que la Suisse a résolu, avec ses 25 pe
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is tort sur ce point, resterait l’autre aspect du
problème
: celui de nos responsabilités européennes en tant que Suisses, et co
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n européen. Voici l’impasse digne des éléates, le
problème
insoluble en bonne logique : Comment faire valoir les succès d’une mo
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our effets inévitables : — de poser clairement le
problème
du régime politique de l’Europe de demain, jamais encore abordé de fr
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, c’est voir nos frontières nulles, c’est voir le
problème
résolu. Mais il existe des moyens moins onéreux de vérifier ce phénom
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n’a rien dit et ne dira rien avant l’an 2000. Le
problème
n’en est pas moins posé à l’opinion publique. D’un examen attentif, l