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ce. Aucun de nos pays ne peut résoudre, seul, les
problèmes
que lui pose l’économie moderne. » Les conclusions que l’on doit tire
2
rte, tant que nous n’aurons pas résolu les grands
problèmes
économiques. Nous sommes un certain nombre à penser qu’au contraire,
3
n nombre à penser qu’au contraire, la plupart des
problèmes
économiques resteront insolubles en fait, tant que nos plans politiqu
4
d’une régie fédérale des houillères (solution du
problème
de la Ruhr). On doit attendre avec curiosité le résultat des discussi
5
es dans leur précieuse diversité. C’est le double
problème
de la liberté de l’esprit et de sa responsabilité qui se pose à la Co
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de la vie dans les camps. Il faut rappeler ici le
problème
tragique des intellectuels réfugiés des pays de l’Est. Faute de pouvo
7
doit être nuancée en fait. Car si l’on examine un
problème
précis, tel que celui de manuels d’histoire, ou celui du statut des u
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xigences politiques et militaires. Élargissant le
problème
, M. Thibaud constate que « dans un État moderne, non anarchique, où e
9
tionnaires chargés (malgré eux, bien souvent) des
problèmes
réputés secondaires de la culture. Ils tentent de s’en tirer en conse
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enus de différents pays et intéressés par un même
problème
. Les contacts personnels qui se nouent alors n’ont pas moins de valeu
11
s Européens Il est donc évident que le nœud du
problème
est dans l’attitude morale des Européens eux-mêmes. À défaut d’une pr
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posé, regardons notre époque et le concret de ses
problèmes
. Voici le tableau, tel qu’il s’offrait à nous il y a dix ans. À l’idé
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duits. Chaque groupement national croit avoir ses
problèmes
uniques, parce qu’il ignore ceux des autres, et prétend les résoudre
14
Europe un lieu où l’on se préoccupe de poser les
problèmes
communs et de grouper ceux qui peuvent les résoudre. Cinq ans plus ta
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multipliés au point de poser à leur tour un grave
problème
de coordination… et de financement ; et les déclarations d’intention
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donc apparaître, dès 1955, en réponse à ces deux
problèmes
nouveaux, d’une part des fondations et fonds (Genève, puis Amsterdam,
17
e une bibliothèque d’ouvrages spécialisés sur les
problèmes
européens. L’action du CEC, en tout cela, a parfois été décisive, enc
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sinon aux produits de la culture, du moins à ses
problèmes
de création, distribution, finalités sociales… Post-scriptum 1970
19
’un thème majeur en lequel viennent converger les
problèmes
de foyers de culture, d’écoles aux trois degrés, de recherches scient
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fait l’objet de nos travaux depuis vingt ans. Le
problème
des régions, à lui seul, peut suffire à polariser les principales act
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er. Il se libère, bien, mais pour quoi ? C’est le
problème
. Un sentiment d’arbitraire le domine. La morale bourgeoise n’est plus
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de ; je vous sens au contraire tentés de noyer le
problème
ou de le refuser. « Simplifions, posons moins de questions, tout s’ar
23
s arts. L’Œuvre du xxe siècle pose bien d’autres
problèmes
. Le premier me paraît être celui de la prise de conscience d’une époq
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assicisme vif, d’une commune mesure élargie ? Ces
problèmes
et bien d’autres se trouvent posés, par le seul fait de leurs illustr
25
e parabole, sans transition, en visant le cœur du
problème
. Que nous soyons ici chrétiens ou non, nous sommes tous tenus de cons
26
a vie publique et civique, domaine du sérieux. Ce
problème
résultant d’une double erreur sur la fonction de la culture et sur ce
27
sse du citoyen actif ou de l’artiste créateur, le
problème
est le même dans sa forme et dans ses étapes dialectiques. Il s’agit
28
rables, terme à terme. ⁂ Revenant maintenant aux
problèmes
plus spécifiques de l’enseignement des arts, je voudrais formuler que
29
nt social et urbain que rural), est le plus grand
problème
politique de ce siècle. Aujourd’hui je voudrais présenter quelques ar
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en tant que civique, se doit donc d’envisager les
problèmes
du milieu au sens large : habitat rural et citadin, architecture et u
31
auses des déséquilibres actuels : La plupart des
problèmes
relatifs au milieu qui se posent aux collectivités locales ont leurs
32
s pour alerter les jeunes et les sensibiliser aux
problèmes
civiques et européens. En leur montrant la situation réelle de notre
33
l, autant que physique), en leur montrant que ces
problèmes
exigent des solutions européennes (au-delà des frontières de leur nat
34
rs ou sans scrupules, dès qu’il s’agit de quelque
problème
brûlant que leur journal veut qu’ils tranchent sur l’heure, quand leu
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ralité des langues, Dante a posé implicitement le
problème
beaucoup plus général de ce qui divise les hommes depuis l’aube des t
36
t nous les posent avec une insistance gênante. Le
problème
qu’on soulève ici, et qui est celui du principe de cohérence de notre
37
en discutent sachent que la dialectique de leurs
problèmes
actuels sur le temps, la matière et sa constitution, est étrangement
38
e dit modestement l’anglais, ce vaste ensemble de
problèmes
qui se ramènent en fin de compte au paradoxe européen par excellence,
39
’une discipline particulière va déboucher sur des
problèmes
qui relèvent d’autres disciplines, parfois connexes mais souvent très
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éconiser, si nous voulons tenter de faire face au
problème
posé par l’accroissement babélique de la spécialisation. Sur le probl
41
roissement babélique de la spécialisation. Sur le
problème
de l’explosion des effectifs universitaires, je n’aurai guère à propo
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est petit, y compris les universités. Mais sur le
problème
de l’explosion du savoir, dont je vous ai plus longuement entretenu,
43
e et privée de l’unité culturelle en question. Le
problème
des possibles convergences entre l’Orient et l’Occident, entre une ce
44
’elles vous paraissent parfois bien éloignées des
problèmes
précis qu’ont à résoudre les industriels, et qu’un institut spécialis
45
he en général, je me tournerai maintenant vers le
problème
particulier de la recherche occidentale. La civilisation qui est née
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des masses plus de sécurité et beaucoup moins de
problèmes
que nos libres démocraties. (C’est là tout le secret du succès provis
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loisirs, qui deviendront l’essentiel de sa vie ?
Problème
immense et tout nouveau, qui viendra se substituer aux problèmes écon
48
se et tout nouveau, qui viendra se substituer aux
problèmes
économiques et sociaux d’aujourd’hui, portant alors au premier plan,
49
que notre technique qui a créé sans le vouloir ce
problème
gigantesque, branché sur des passions aussi fondamentales que la faim
50
techniques » pour trancher en dernier ressort des
problèmes
qui appelleraient en réalité des décisions politiques ou morales, tan
51
e et le Monde, convoquée par le CEC, a traité ces
problèmes
en 1964. Cf. L’Europe et le Monde, Bulletin du CEC, n° 1-2, 1965. 26
52
bord le soutien financier du mécénat européen.
Problème
général du mécénat au xxe siècle Mais que signifie, dans le concr
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méthodes et l’objet du mécénat. Notez bien que le
problème
que j’évoque n’est pas posé par la disparition des princes capables d
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rtunes qu’à la Renaissance ou au Grand Siècle. Le
problème
est posé par le fait que nos virtuels mécènes à l’ancienne mode ne so
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er ? Il faudrait disposer d’un état permanent des
problèmes
à résoudre, des chercheurs disponibles, et des initiatives en quête d
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pprimer) attend encore un mécénat à sa mesure.
Problèmes
particuliers d’un mécénat européen L’Europe unie, dont le Marché c
57
ctif que je déduis d’une expérience intime de ces
problèmes
depuis une bonne dizaine d’années, tient en trois points : 1. Créatio
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? Il me semble que ceux qui tiennent la clé de ce
problème
vital pour la culture sont bien moins les compositeurs que ceux qui f
59
r. Ce jeune chef prestigieux connaissait bien les
problèmes
artistiques et pratiques des nombreux festivals où il avait dirigé. I
60
l’Europe. La musique n’aidera pas à résoudre les
problèmes
de l’union politique de nos peuples, mais elle atteste mieux que la s
61
tique, nous retrouverons toujours le même type de
problèmes
: unir sans uniformiser, maintenir les différences au sein d’une harm
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ître, et d’échanger une ou deux fois par an leurs
problèmes
et leurs expériences, elle aurait mérité d’exister. Laissant de côté
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peut-être pourquoi elle reste si vivante ?) 2. Le
problème
d’une définition du festival authentique s’est donc posé d’entrée de
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moins « dialogique » par sa nature même. Mais son
problème
majeur, qui est celui de l’intégration de la civilisation technicienn
65
aissante de l’Afrique noire doit faire face à des
problèmes
d’éducation qui nécessitent évidemment les échanges, mais elle doit r
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les échanges, mais elle doit résoudre d’abord un
problème
de prise de conscience d’elle-même et de son unité : le dialogue non
67
iographies et bibliothèques sont si riches que le
problème
est moins de les multiplier que d’arriver à les utiliser. Enfin, les
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ier à la satisfaction générale, sans qu’aucun des
problèmes
de fond et d’ensemble soit touché. Le Dialogue des cultures doit s’ét
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s’établir entre des ensembles, et porter sur des
problèmes
vivants. 2. Entre les travaux indispensables des spécialistes d’une p
70
gent les aspects spirituels et psychologiques des
problèmes
) ; ou de firmes privées (qui envoient les représentants qu’elles ont
71
es autres régions non européennes, qui posent des
problèmes
non moins urgents et importants, quoique beaucoup moins étudiés jusqu
72
Amérique latine. Cette dernière ne connaît pas de
problèmes
de races, mais des problèmes de développement industriel et éducatif,
73
re ne connaît pas de problèmes de races, mais des
problèmes
de développement industriel et éducatif, d’inégalité sociale, et cont
74
t difficile de trouver un dénominateur commun aux
problèmes
de l’Inde et à ceux de la Chine, par exemple, ou encore aux problèmes
75
et à ceux de la Chine, par exemple, ou encore aux
problèmes
de la Chine et à ceux du Japon. Au surplus, la problématique Est-Oues
76
ncore ? Pourquoi ne pas réfléchir ensemble sur le
problème
urgent et stupéfiant, sans précédent dans l’Histoire, que va poser la
77
u’aucune de nos régions ne peut résoudre seule un
problème
de pareille envergure… ⁂ Les considérations que je viens d’esquisser
78
ivités, œuvres créées, institutions, tendances et
problèmes
) ; — préparer la rédaction d’ouvrages de large diffusion, décrivant l
79
e propre, l’histoire, les valeurs communes et les
problèmes
nouveaux de chacune de nos grandes unités de culture ; — offrir un li
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ogues et des économistes à leur suite ont pris le
problème
à l’envers : soucieux de s’appuyer sur le réel, ils ont voulu partir
81
t la prise de pouvoir par les communistes, et les
problèmes
du Tyrol du Sud et du Mezzogiorno sont loin d’être résolus. L’Espagne
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es partis politiques au moins. Partout se pose le
problème
de la dimension, qui est le problème clé du fédéralisme. L’État-natio
83
t se pose le problème de la dimension, qui est le
problème
clé du fédéralisme. L’État-nation se montre à la fois trop grand et t
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ni intervenir à l’échelle de la planète dans des
problèmes
qui intéressent tous les hommes. Une unité continentale est à cet éga
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r sur un autre plan que celui, précisément, où le
problème
se révèle insoluble. Il faut se fonder sur ce qui est destiné à deven
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stements en souplesse, par approche empirique des
problèmes
. On ne se heurtera plus à ce « sacré national » auquel on achoppe con
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ys qui l’entourent et qui sont des corps durs. Le
problème
se posera différemment lorsque une vie régionale à la fois fluide et
88
s institutions de la Capitale, elle fera voir les
problèmes
concrets de la vie publique et les moyens d’y participer à tous les é