1 sure le secrétariat depuis sa fondation — sur les problèmes des régions transfrontalières , unités de base de l’Europe fédérale d

2 ur la première fois, posé sur le plan européen le problème de la coopération en matière de recherche nucléaire. Dans une résolut

3 ique. Il coïncidait étroitement avec l’exposé des problèmes que je lui avais soumis en vue de la réunion d’une Conférence europée

4 xigences politiques et militaires. Élargissant le problème , M. Thibaud constate que « dans un État moderne, non anarchique, où e

5 icalement hostile à toute discussion publique des problèmes nucléaires, en vint à me dire : « Vous voulez donc livrer tous nos se

6 semble qu’ait été abordé pour la première fois le problème , dans toute son étendue. Préparée par le Bureau d’études pour un Cent

7 n statut analogue à celui d’un port franc ; d) le problème de la langue : puisque dans un tel Laboratoire, en moyenne, pour un t

8 la connaissance et des techniques appliquées, les problèmes qu’implique la décision de centrer sur cet instrument le Laboratoire

9 , à se rabattre en physique expérimentale sur des problèmes secondaires négligés par la recherche américaine. Dans ces conditions

10 Europe, et du même coup dans leur propre pays. Le problème suivant se trouve ainsi posé : Si l’Europe renonçait à se doter d’un

11 (comme les théoriciens de Princeton) alimentés en problèmes imprévus par les stations d’expérimentation et de développement techn

12 amps et de l’action à distance, ainsi que sur les problèmes de haute énergie étudiés dans la station américaine de Berkeley (Cali

13 e colloques scientifico-diplomatiques étudient le problème du site. Trois candidatures sont longuement mises en balance : Genève

14 tique à propos des centrales nucléaires. C’est un problème d’information à la fois des citoyens et des gouvernants. P. Auger rap

15 is longtemps à la retraite : il n’y a donc pas de problème « sérieux ».) Devant le tir de barrage des mensonges officiels à l’ap

16 des Européens Il est donc évident que le nœud du problème est dans l’attitude morale des Européens eux-mêmes. À défaut d’une pr

17 , est premier directeur général. Sont étudiés les problèmes posés par le nom, le siège, la structure juridique et administrative,

18 mal en quoi un transfert du siège résoudrait les problèmes financiers de la Fondation. Sir Terence Airey11 signale qu’on lui pos

19 ientifique, pragmatique et organisée, les énormes problèmes devant lesquels l’Europe allait se trouver dans les décennies à venir

20 conception du Plan Europe 2000, où quatre grands problèmes étaient posés : l’éducation, la région urbaine, la société rurale, l’

21 ustriel. Mais toujours : l’homme au centre de ces problèmes . Si d’autres étudiaient le foudroyant développement technologique de

22 r à long terme, conception interdisciplinaire des problèmes et de leurs solutions, stratégies volontaristes dans le cadre d’une c

23 jusqu’à l’an 2000. Denis de Rougemont a traité du problème des responsabilités sociales, civiques et politiques. Ces travaux son

24 ter ainsi un intérêt général pour ces dramatiques problèmes d’avenir, un intérêt qui malheureusement fait encore souvent défaut.

25 ntérêt, au-delà de vos frontières nationales, aux problèmes de l’Europe tout entière. Je souhaite vivement qu’en suscitant autour

26 citant autour de vous une prise de conscience des problèmes cruciaux devant lesquels l’Europe se trouve placée, vous aidiez toute