1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 ques « du disque solaire et du croissant géminés, proclame l’origine phénicienne de cette représentation »8. Tout concourt à pro
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
2 en ses destins l’Europe française. Tous les trois proclament la supériorité essentielle et comme absolue de la religion européenne
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — La Révolution française et l’Europe
3 bsoudra l’espèce humaine du crime de la guerre et proclamera la paix universelle ; alors le bonheur des peuples sera le seul but d
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
4 nt pessimiste) des diverses doctrines européennes proclamées par l’absolutisme et la Révolution, ou par l’abbé de Saint-Pierre, ou
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
5 atriotisme. La « Sainte-Alliance des Peuples » va proclamer son utopie touchante et improbable face à la politique courte mais « 
6 et l’autre à laisser de côté l’élément divin et à proclamer l’indépendance et la souveraineté de l’élément humain… Du reste ce gr
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
7 ident du Congrès de la paix, réuni à Paris, avait proclamé sa foi dans la venue « inévitable » de l’union européenne. Son discou
8 un peu partout. Le principe de non-intervention, proclamé depuis longtemps, n’est-il pas la déclaration de faillite de la polit
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
9 , et marche triomphant vers la France, dont il se proclame de nouveau le libérateur. Assurément, moi, dans une telle situation,
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
10 du néant, annonciateurs de l’hitlérisme. Avant de proclamer que tout est perdu, rétablissons les proportions de notre drame dans
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
11 était pas liée à cette autre valeur qu’a toujours proclamée l’Espagne spirituelle, du Quichotte à Unamuno : la gratuité. L’Europ
12 ent valoir rien que de n’être utile à personne », proclame Descartes. À « cette philosophie spéculative qu’on enseigne dans les
13 valeurs sont personnelles. De même que le Christ proclama la valeur infinie de l’âme humaine et enseigna qu’aucun gain temporel
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Appendice. Manifestes pour l’union européenne, (de 1922 à 1960)
14 s de La Haye, dans sa Résolution politique, avait proclamé  : « L’heure est venue pour les nations de l’Europe de transférer cert