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us des mécaniques, ce qui revient à faire le vain
procès
de la bêtise humaine. Ou bien sa réaction de dégoût est véritablement
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r Franz Kafka (mai 1934)p Je ne sais pas si le
Procès
est le chef-d’œuvre de Kafka, mais il est difficile d’imaginer un liv
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liberté. Toute l’histoire sera celle, non pas du
procès
, qui n’a jamais lieu, mais des préliminaires, des démarches que tente
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e suspension du jugement qui est tout le drame du
Procès
. Constatation de la réalité telle qu’elle est, et en même temps, au m
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gemont Denis de, « [Compte rendu] Franz Kafka, Le
Procès
», La Nouvelle Revue française, Paris, mai 1934, p. 868-869.
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fatalité universelle. Comment ne point songer au
Procès
de Kafka, la plus géniale description du mythe de l’arrestationaj. On
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ute indéterminée. Il faut sans doute attribuer au
Procès
une signification théologique. Mais ce n’est pas la seule possible. I
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in des partis, arrestations en masse de suspects,
procès
de tendance faits à ceux mêmes qui se taisent, etc., etc. ai. Rouge
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mpte dans le numéro de mai 1934 de la NRF : « Le
Procès
, par Franz Kafka, traduit par A. Vialatte (Gallimard) ».