1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
1 us des mécaniques, ce qui revient à faire le vain procès de la bêtise humaine. Ou bien sa réaction de dégoût est véritablement
2 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
2 Le Procès , par Franz Kafka (mai 1934)p Je ne sais pas si le Procès est le ch
3 r Franz Kafka (mai 1934)p Je ne sais pas si le Procès est le chef-d’œuvre de Kafka, mais il est difficile d’imaginer un liv
4 liberté. Toute l’histoire sera celle, non pas du procès , qui n’a jamais lieu, mais des préliminaires, des démarches que tente
5 e suspension du jugement qui est tout le drame du Procès . Constatation de la réalité telle qu’elle est, et en même temps, au m
6 gemont Denis de, « [Compte rendu] Franz Kafka, Le Procès  », La Nouvelle Revue française, Paris, mai 1934, p. 868-869.
3 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
7 fatalité universelle. Comment ne point songer au Procès de Kafka, la plus géniale description du mythe de l’arrestationaj. On
8 ute indéterminée. Il faut sans doute attribuer au Procès une signification théologique. Mais ce n’est pas la seule possible. I
9 in des partis, arrestations en masse de suspects, procès de tendance faits à ceux mêmes qui se taisent, etc., etc. ai. Rouge
10 mpte dans le numéro de mai 1934 de la NRF : «  Le Procès , par Franz Kafka, traduit par A. Vialatte (Gallimard) ».