1 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
1 s le 94 % de l’humanité actuelle et le 98 % de la production totale du monde. De là le nom d’hémisphère privilégié que lui ont don
2 contient donc que 6 % des habitants et 2 % de la production du monde, n’étant guère occupée que par les océans, le continent anta
3 en Âge — où la distribution des hommes et de leur production était tout à fait différente de ce qu’elle est devenue de nos jours.
4 ord le réseau de ses échanges et de ses foyers de production , puis les premières institutions mondiales. Jamais les Africains, ni
5 riels et une répartition plus décentralisée de la production , poussant à la mise en valeur, par l’intermédiaire des communes, des
2 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
6 a fusion des intérêts essentiels de nos nations : production industrielle, législation sociale, tarifs douaniers, liberté des écha
3 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
7 st exact, en ce sens que, par tête d’habitant, la production américaine dépasse encore celle de l’Europe. Mais le rythme d’accrois
8 absolus, l’Europe occupe le premier rang pour la production de l’acier, de la fonte, de la houille, du ciment, du beurre et du la
9 i ne me paraît pas dénué de toute signification : production de savants de premier ordre, calculée en prix Nobel pour les sciences
10 les machines à tisser, puis contre les chaînes de production en Amérique, et récemment contre l’automation à Coventry : tout cela
4 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
11 lisme constructif. Les taux d’accroissement de la production et de l’exportation battent tous nos records. Sauf en Italie, le chôm