1 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
1 ntaines de fois. Comment ces crimes ont-ils pu se produire  ? C’est que la police protégeait les fascistes contre les moindres ré
2 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
2 contribuent-ils à ravager la civilisation qui les produit  ? Vous vous êtes tous posé cette question-là. Mais il ne suffit pas d
3 r les rouages. On ne sait pas du tout ce que vont produire ces capitaux énormes qu’on accumule à tout hasard. On ne sait pas du
4 ouvement fatal. Le développement de l’industrie a produit évidemment beaucoup d’automobiles, de téléphones et de frigidaires, m
5 de téléphones et de frigidaires, mais il a aussi produit beaucoup de canons et de masques à gaz. Il a produit beaucoup de conf
6 duit beaucoup de canons et de masques à gaz. Il a produit beaucoup de confort, mais il a également produit la lutte des classes
7 produit beaucoup de confort, mais il a également produit la lutte des classes et le chômage, et la grande ville, cette catastr
8 pour toutes que les échanges d’idées pouvaient se produire sans erreur ni malentendu. Les lieux communs étaient donc à la base d
9 dissocier toute communauté naturelle. Et alors se produit le phénomène auquel nous avons assisté depuis une trentaine d’années.
10 s et des grands partis politiques. À ce moment se produit fatalement ce que j’appellerai un sentiment de vide social. C’est une
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
11 ionnelle qu’on appelle le ton de la chaire et qui produit sur l’auditeur occasionnel de nos sermons une impression fâcheuse de