1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — D’une culture qui parle dans le vide
1 on en est arrivé à considérer la culture comme un produit de consommation, et non comme une activité de production. Or si tout
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure soviétique
2 ienne, censée naître automatiquement, et comme un produit accessoire, de la dictature économique des prolétaires. « Au début, o
3 trielle. La seule littérature digne du nom qu’ait produite la nouvelle Russie s’est développée en marge du Plan, par anticipatio
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
4 S. Ce schématisme de « l’édification culturelle » produit dans les deux cas la même impression très pénible de mensonge et de b
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
5 inversion, on préféra ne plus rien distinguer. On produisit , on vendit, on gagna de l’argent, les manuels scolaires vantèrent le
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
6 en lui assignant des limites. (La raison seule ne produit rien. La violence seule détruirait ses produits. La réalité vivante e
7 est une démission de ma pensée ou de mes mains ne produira jamais rien de valable pour ma pensée ni pour mes mains ; bien plus,
8 étende être le régime. « La supériorité véritable produit elle-même la provision de force qui cause sa perte », dit Kierkegaard
9 nt par exemple sur l’économie : ils pourront bien produire des millions de machines, mais ils seront impuissants à les utiliser
10 n’est compréhensible aux autres que par le heurt produit sur les conformismes régnants. Les conventions sont donc indispensabl