1 le « spirituel » bourgeois parce que ce spirituel produisait en fait le prolétaire. Puis il affirma que ce prolétaire était l’homm

2 plus « actifs » des temps modernes. Il s’est même produit ceci, que ceux d’entre eux qui perdaient la foi — c’est-à-dire le pri

3 ssible qu’au nom de l’Évangile25. Elle ne peut se produire qu’entre le christianisme véritable et cette « chrétienté » qui s’en

4 a loi. Mais le moderne dit : « Je gagne » ou « Je produis  », ou bien « Je chôme », et ce sont autant de ruptures et de séparati

5 ux. Il s’oriente vers l’anarchie. À ce moment, se produit fatalement ce que j’appellerais un sentiment de vide social. C’est un

6 appareil dévorateur. Et cela ne manque pas de se produire lorsque la majorité des citoyens se trouvent réduits à l’état de fonc

7 son rôle actif de persona. Spirituellement, il se produit un phénomène parallèle : le païen qui se convertit se voit d’une part