1 1963, L’Opportunité chrétienne. Première partie. L’opportunité chrétienne dans un monde sécularisé — 1. Une fausse nouvelle : « Dieu est mort »
1 voir vécu en tant que personne, il se serait donc produit , à un certain moment précis, dans le temps et dans l’espace (mais où
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
2 nomène de restauration liturgique, parce qu’il se produit là comme à l’état naissant sur un fond de nudité presque totale. En F
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
3 unique, éternel, transcendant. Elle n’est pas le produit normal d’une évolution historique fécondée et cristallisée par l’inte
4 lles fussent connues de tous. Cette connaissance produit parmi nous une admirable conformité, parce que rien n’est si capable
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 8. La mission de l’artiste
5 créer, au vrai sens de ce terme, c’est-à-dire de produire un changement absolu, une nouveauté absolue dans l’univers. Ce que l’
6 ne machine, une équation, une loi, un soulier, un produit chimique, une photo. Depuis deux siècles environ, on a coutume de rép
7 réponse que voici : à la différence de tout autre produit de l’action humaine, l’œuvre d’art est un objet dont la raison d’être
8 les rhétoriques n’ont empêché l’originalité de se produire distinctement. Le contraire, à savoir qu’elles ont aidé l’éclosion de
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
9 tion générale des mœurs, dans les pays où elle se produit librement « tourne à la réalité », précisément. Le mouvement général
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
10 ême » (Id., ibid.). C’est-à-dire l’homme concret, produit social selon Marx, et non pas créature spirituelle et charnelle. 29.
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
11 e est normale, et non désespérée, puisqu’elle est produite par sa foi, c’est-à-dire par sa certitude. Prenons ensuite l’exemple
12 éterminée par les deux forces principales qui ont produit notre civilisation, — voilà ce qui définit le mieux l’Europe. Et c’es
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
13 initive. Car c’est précisément cette utopie qui a produit les schismes et les oppositions que le mouvement œcuménique se propos
14 ratie individualiste et étatisme totalitaire — se produit l’événement unique de l’Incarnation. Et il apporte à la question des
9 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
15 nié en dépit du bon sens, dès l’instant qu’on le produit au grand jour, explique tout. Il faudra plusieurs décennies pour qu’o
16 erre par les congrès de Montreux et de La Haye, a produit le Conseil de l’Europe, CECA, le Marché commun et Euratom. Il serait
10 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
17 é la civilisation dont cette machine-outil est le produit se reconstitue autour d’elle. Sinon, elle risque de produire plus de
18 reconstitue autour d’elle. Sinon, elle risque de produire plus de mal que de bien. Première conclusion : la civilisation occide