1 1953, La Confédération helvétique. Note de l’auteur
1 remercie tout particulièrement M. Charles Burky, professeur de géographie humaine à l’Université de Genève, pour les suggestions
2 ons et critiques dont il m’a fait bénéficier. Les professeurs A. Simonius, de Bâle, et Paul Mantoux, de Genève, ont également relu
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
3 et, comme l’a souligné dans plusieurs ouvrages le professeur Adolf Gasser : Le principe fédéraliste est à la base non seulement d
4 gié en Suisse au début de la Restauration, devint professeur à l’Université de Genève, député à la Diète fédérale, principal rédac
3 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
5 emploie un très grand nombre de savants (parfois professeurs d’Université et prix Nobel, eux aussi), chimistes, pharmacologues et
4 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
6 u social, qu’ils deviennent plus tard ouvriers ou professeurs , paysans ou commerçants, ils reçoivent donc côte à côte la même forma
7 turel de rendre plus étroites les relations entre professeurs et étudiants. Les uns et les autres, pour une large proportion, se re
8 ou grande bourgeoisie. Le système de la ronde des professeurs , et de leur ascension progressive vers la capitale, si typique de la
9 n turque actuellement en vigueur est l’œuvre d’un professeur de droit de Neuchâtel, M. G. Sauser-Hall. 36. Aux sept universités m