1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
1 De Francisco de Vitoria (1580-1546), dominicain, professeur à Salamanque, l’un des fondateurs, avec Suárez, du droit des gens, cé
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Pendant ce temps, l’Amérique du Nord…
2 usqu’à nos jours. Les publicistes d’Amérique, les professeurs et les étudiants, les juges de la Cour suprême, y voient avec raison
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
3 nt de devenir à Heidelberg l’un des plus célèbres professeurs de droit international de son temps. L’expérience vécue du fédéralism
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
4 t ami de l’humanité, n’a jamais été connu que des professeurs de littérature, et encore pas de tous, et très partiellement. Or, Sch
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
5 pairs dans la science neuve des civilisations, le professeur allemand David Strauss. Sa première lettre est datée du début de la g
6 ardt qui se tait. Le principal confident du grand professeur bâlois se trouve être un « Polizeidirektor » de Karlsruhe, Friedrich
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — Crépuscule ou nouvelle aurore ?
7 serait transcendant. J’ai parfois reproché à des professeurs d’histoire que je savais acquis à l’idée d’une unification européenne