1 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
1 me révèle sans doute l’un de ses aspects les plus profonds . Dans cette église baroque de Sainte-Catherine — murs couverts d’armo
2 is où sont les jeunes gens ?) Et le recueillement profond . Il m’a semblé aussi que l’on chantait mieux que naguère, sur un ryth
3 ple que le besoin de porter remède à ses carences profondes , et de les compenser. Hitler est en train d’opérer un dressage du peu
4 nts des mœurs. Seulement, il y a cette différence profonde entre le jacobinisme et le national-socialisme : c’est que le premier
5 st une forme de culture, séduisante, aimable et «  profonde  », mais à tel point coupée de la vie « grossière » des masses qu’elle
6 que la propagande hitlérienne flatte un des goûts profonds de l’Allemand : celui d’apprendre. Rosenberg, Goebbels, les théoricie
7 s jusqu’au bout de nos forces. Il y a un instinct profond , dans tout homme, qui réclame cette épreuve totale de ses forces. Com
2 1938, Journal d’Allemagne. Conclusion 1938
8 xpliquer que des phénomènes extérieurs. La raison profonde d’un mouvement comme le nôtre est irrationnelle. Nous voulions croire
3 1938, Journal d’Allemagne. Instruction spirituelle donnée aux étudiants hitlériens, (Extrait de lettre d’un étudiant allemand)
9 tes… La piété germanique n’est qu’une attitude de profond respect en face des lois de l’Harmonie et du Beau… Les hommes qui n’o