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t au xvie siècle. Mais je maintiens que la cause
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de la tendance fédéraliste protestante jusqu’à nos jours, est d’ordre
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le mal qui est dans la pensée. Et voici sa racine
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: politiciens ou intellectuels, tous ont oublié l’homme dans leurs ca
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là-dessus — qu’elle ne repose pas sur une erreur
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quant aux pouvoirs de l’homme et à ses fins terrestres. En appelant e
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t par là même, elle est conforme à notre vocation
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. Garde montée autour des cols, dirait Liehburg ; milice au service du
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ne saurait être légitime qu’à proportion du sens
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des raisons d’être de la Suisse dont nous témoignons par ailleurs. N’