1 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
1 à une sorte de cynisme facilement explicable ; un profond besoin de réalisme mais trop peu d’informations sur l’état du monde p
2 ils me paraissent aussitôt correspondre à l’appel profond de ce temps. Communauté et langage Tout le monde le sent, beauc
3 de ce refus permet un acte de compréhension plus profond et concret. C’est pourquoi les orthodoxes et certains anglicans n’ont
2 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
4 conversion des Juifs. Et ceci nous révèle la plus profonde raison des sentiments « ambivalents », comme dirait Freud, qu’ont eus
3 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
5 t cohérente et intransigeante, d’où son influence profonde et indéniable sur Ibsen, sur Unamuno, sur Rilke, sur Kafka, et sur un
4 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 9. La crise moderne du mariage
6 . Mais de nos jours, une révolution beaucoup plus profonde s’opère sans bruit. Ses conséquences ne sont pas faciles à prévoir. J
7 a sexualité. Les troubadours ont exercé un impact profond en rendant la joy d’amor à la mode. Les films et la littérature bon m
5 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
8 niste conscient et conséquent. C’est ce mouvement profond qui légitime, à ses yeux tout au moins, les détours les plus tortueux
9 nte et totalement animatrice. C’est ici la raison profonde des déviations dites « réformistes » ou « étatistes » de la révolutio
6 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 11. La baleine qui avait faim
10 ommes et non pas simples animaux, c’est le besoin profond de dépasser leur condition présente, leurs données natives ou sociale
7 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
11 x-mêmes, de leur foi ou de leur ambition, la plus profonde , et non pas des données et des aspirations plus ou moins exactement c
12 alisme et dictature, l’opposition n’est pas aussi profonde qu’on l’imagine. Il s’agit plutôt d’une succession inévitable. L’indi
8 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
13 le du genre humain. Dans la mesure (beaucoup plus profonde que nos contemporains ne le croient) où le christianisme a suscité, c