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umanitaire. Par quelle fatalité mauvaise tous les
progrès
de notre science contribuent-ils à ravager la civilisation qui les pr
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opposé des milliers de pages de rhétorique sur le
Progrès
. Merveilleuse doctrine que celle-là ! Car en somme elle justifie tout
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et délicat pour agir sur ces faits ; secundo : le
Progrès
automatique arrangera tout. C’est lui qui, désormais, va remplacer la
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», disait Marx. Je lui réponds que la croyance au
Progrès
est devenue l’opium de la pensée. Bien entendu, ce n’est point parce
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s en ont manqué, c’est parce que leur croyance au
Progrès
les dispensait de l’inquiétude d’où naît toujours la lucidité. Et vo
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e pour soi, sans se préoccuper de l’ensemble : le
Progrès
, automatiquement, se chargera du reste, et tout finira bien. Le marxi
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ne ne sut ou n’osa voir à quoi devait conduire le
Progrès
, abandonné à son mouvement fatal. Le développement de l’industrie a p
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ou culturel. Tout cela parce qu’on pensait que le
Progrès
était sain, juste et infaillible, et que la seule tâche sérieuse étai