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Faire la
propagande
de la liberté, c’est sauver notre culture (décembre 1950-janvier 1951
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onnêtement cette fois-ci, cartes sur table. La
propagande
de la Liberté Quelles sont nos armes ? Je pense que leur nature do
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peut-être même sans raison : c’est une mission de
propagande
qui nous incombe au premier chef. Je désire m’expliquer sur ce point.
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er sur ce point. On peut et l’on doit détester la
propagande
, mais on ne veut pas nier qu’elle existe et qu’elle joue — avec quel
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a santé des hommes. Utilisons de cette manière la
propagande
pour vacciner contre elle les masses, qu’elle vise d’abord, et les él
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r nous intellectuels, hommes de culture, faire la
propagande
de la liberté, c’est, en fin de compte et du même coup sauver notre c
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rétariat international du Congrès. a. « Faire la
propagande
de la liberté, c’est sauver notre culture », Les Amis de la liberté,
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t créée par les mystiques adverses. Au défi de la
propagande
, répondons tranquillement par les faits. Nous pouvons perdre toutes n
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santes ; par suite, l’invasion irrésistible de la
propagande
totalitaire, et démission finale entre les mains d’une petit groupe d
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terait une perte de temps ; et ils ont cru que la
propagande
pour l’idée européenne était faite. Examinons les réalités que cachai
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où les adversaires de l’union ont déclenché leur
propagande
massive. Eux n’ont pas hésité un instant à agiter les passions : ils
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le nombre des brochures, tracts, petits livres de
propagande
ou d’information européenne publiés depuis 1947 dans les seize pays d
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élites, devant le problème européen ? Avant toute
propagande
massive, une préparation des esprits en profondeur reste indispensabl
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aires de la Terreur. Nous n’avons pas opposé à la
propagande
des Bons Tyrans je ne sais quel « front uni » exigeant farouchement l
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Publier ses écrits, c’est contribuer au genre de
propagande
intellectuelle qui mène au crime de Budapest. Discuter ses raisons, c