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quence militante, de la sobre sociologie et de la
propagande
exaltée. Ils ont voulu tous les deux l’union de l’Italie dans une Eur
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isation romantique du passé, soit au profit d’une
propagande
religieuse ou patriotique. Le second cas est assurément le plus redou
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en développant, à leur tour, sur le modèle de la
propagande
occidentale, une propagande nationaliste ; mais personne n’a jamais s
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, sur le modèle de la propagande occidentale, une
propagande
nationaliste ; mais personne n’a jamais songé à nommer l’Europe une n
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e, et leurs histoires sont souvent des manuels de
propagande
nationaliste. Cette tendance est manifeste tant chez les historiens p
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e suis associé pendant ces dernières années à une
propagande
active en faveur d’une idée qu’on a bien voulu qualifier de généreuse