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ession médicale, personne n’a jamais eu l’idée de
proposer
qu’on donne la peste à toute la nation. Or c’est à peu près cela qu’o
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te la nation. Or c’est à peu près cela qu’on nous
propose
: faire vivre le peuple avec ce qui doit le faire mourir. C’est la po
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rne. Aussi bien, la page que je viens de citer ne
propose-t
-elle pas la non-résistance, mais au contraire une forme de lutte nouv
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ur les rapports de l’Église et de l’État, je vous
proposerai
deux formules : 1° Le service unique et suffisant que l’Église doit r
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me si cela allait de soi — chaque fois qu’on nous
propose
d’entrer dans une forme quelconque d’union européenne ? Le fait est q
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cial, parmi nous. Pour y faire face, personne n’a
proposé
une meilleure solution que l’union. « Les vrais intérêts de l’Europe
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me paraît vitale pour notre avenir. Je me borne à
proposer
, pour l’orienter, un seul principe de jugement politique. Le voici :
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efus de la « solution définitive et universelle »
proposée
par la Science et imposée par la Machine. Cet acte d’hérésie objectiv
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te expérience, et des maximes que j’en déduis, je
propose
dans la suite du livre une distinction fondamentale à opérer dans l’a
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que l’on pourrait tenter d’y faire. La dichotomie
proposée
entre les règles du jeu d’une part, et la vocation d’autre part ; ent
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. Aux démocrates ombrageux qui m’accuseraient de
proposer
une éthique à l’usage exclusif d’une petite élite spirituelle, d’un g
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ci que la prière est le seul moyen que l’Évangile
propose
pour accorder au Transcendant notre être intime, notre pensée, notre