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a culture Qu’est-ce qu’un problème ? Je me
propose
d’envisager dans cet ouvrage le problème de la culture. Lorsque l’on
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aucoup plus important que les solutions qu’on lui
propose
. Ainsi le problème de la culture. (Quelqu’un demande : à quoi sert-el
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Valéry, de l’Académie française… 3. N’a-t-on pas
proposé
déjà l’érection d’un « Palais de l’Esprit » au centre de l’Exposition
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itiques, tels sont les ersatz pitoyables que nous
proposent
l’Argent et l’État. Giovinezza ! Tod den Juden ! Nous ferons mieux qu
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de la vie, sous la même loi supérieure de la fin
proposée
par le socialisme. » Il faut alors définir la culture comme « une for
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immense caricature ; et que les fins qu’elle lui
propose
ne valent pas le prix qu’on les paye. Mais, d’autre part, il ne peut
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ction : la mesure pseudo-marxiste que les Soviets
proposent
en exemple s’est avérée, après quelques années, incapable de mainteni
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e la faim ou de la liberté ; il a suffi qu’on lui
propose
, souvent sans preuve, un grand mythe de communauté : nation unie, ou
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de son repos. « Si c’est avec tes mains que tu te
proposes
de penser, que vas-tu faire de ton cerveau ? », nous dit ce bon espri
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ective, sérieuse, c’est ce que nos grandes écoles
proposent
comme idéal à leurs élèves, dans un ordre de choses, on le sait, où l
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peut-on sans émousser la vérité ? Je ne vais pas
proposer
d’impossibles « retours » à la naïveté créatrice, à l’improvisation g
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t personnel et réfléchi. (Au lieu de cela on nous
propose
partout des engagements collectifs et sentimentaux !) Il faut que le
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ement si, dans nos conditions, ce nous qu’on nous
propose
pourrait être autre chose qu’une moyenne entre le je des libéraux et
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procher que par la voie des négations. Nous avons
proposé
une dialectique critique dont les deux termes négatifs sont évasion e
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de son train-train, etc., tel est le rôle que se
propose
de poursuivre (sic) cette collection. » 94. Claudel (Art poétique, C