1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe de Tristan
1 n, ou tout au moins, la rend inefficace. Or je me propose d’envisager Tristan non point comme œuvre littéraire, mais comme type
2 faits qu’il nous rapporte et les raisons qu’il en propose , ou qu’il omet très curieusement de nous indiquer. 4.Le contenu ma
3 z-vous dans la forêt ? Pourquoi la reine coupable propose-t -elle un « jugement de Dieu » ? Elle sait bien que cette épreuve doit
4 décision de se séparer est bientôt prise. Tristan propose de « gerpir » en Bretagne. Auparavant, ils iront voir Ogrin l’ermite
2 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
5 ire plus de clarté dans ce dédale dialectique, je proposerai le schéma suivant : doctrine application théorique réalisat
6 r connaître cette poésie. Ainsi de chaque réponse proposée  : le « sérieux » des savants paraissant consister surtout dans une pr
7 une réponse tout évidente dans l’hypothèse que je propose . Je ne vois pas qu’elle en trouve ailleurs. 2. Les troubadours garden
8 istoriens des mœurs médiévales, J. Huizinga, nous propose sur ce point des exemples topiques ; celui, entre autres, du mystique
9 les pamphlets de ses adversaires que cette école proposait une théorie érotique des rêves. Or les poèmes surréalistes conservés
10 ils n’ont qu’un seul auteur, etc. Mais peut-être, proposent certains, décrivent-ils simplement des rêves ? Peut-être même sont-il
11 er trait me paraît capital pour l’analogie que je propose ) ; et nous savons enfin qu’il a suffi que quelques-uns des chefs de c
12 e de décisives confirmations. L’auteur va jusqu’à proposer , au terme d’une démonstration serrée, que l’on prenne les poèmes des
13 s en particulier. 76. Miss J. L. Weston en avait proposé une autre en 1907 : elle rattachait le Graal aux rites secrets du cul
3 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
14 pè, d’une manière assez analogue à celle que nous proposions ci-dessus (voir II, 4). Sankara refuse le monde et le condamne sans a
15 e du langage « épithalamique » pourrait-elle être proposée comme un critère lorsqu’il s’agit de savoir si tel mystique croyait o
4 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
16 séparent des croyances religieuses (comme l’avait proposé Confucius) et, sans que nul paraisse y prendre garde, se rangent aux
5 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
17 ée : c’est Law, le financier de la Régence qui la propose , reprenant, et sans doute à son insu, la méthode des Condottieri : L
6 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
18 dre inaptes à le posséder. Car tout ce qu’on nous propose nous introduit dans le monde de la comparaison, où nul bonheur ne sau
19 épuise l’une après l’autre les illusions que lui proposent divers objets, trop faciles à saisir. Au lieu de mener à la mort, ell
7 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
20 ie. Et ce n’est à aucun degré une solution que je propose . Car outre qu’une telle solution probablement n’existe pas, si elle e
21 i la foi hérétique dont elle est née ne sauraient proposer comme but à notre vie la maîtrise de la Nature, puisque c’est là le b