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our Rimbaud l’abandon de la poésie, alors qu’elle
propose
à Goethe, comme un exercice de choix, l’écriture, — cela n’a rien que
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évêques, tentera de prouver qu’il extravague ; on
proposera
de l’interdire d’accès au temple ; l’opinion unanime accablera son fo
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entière. La différence, c’est que Nietzsche nous
propose
d’adorer un Destin muet, tandis que Luther adore une Providence dont
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qu’on ne peut plus le distinguer des formes qu’il
propose
à notre vue. Il s’est transformé en domaine. Il faut le lire comme un
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ssés sur notre faim. Le songe, au contraire, nous
propose
des paradis et des terreurs d’une intensité séduisante. Serait-il le