1 1948, Suite neuchâteloise. II
1 e nous-mêmes.   Je l’ignorais encore quand on m’a proposé d’écrire ces pages sur mon pays natal. On insistait amicalement : je
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2 in, que c’est aux Trois États qu’il appartient de proposer et de promulguer une loi ». Quant à l’esprit des lois pénales, Coxe l
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3 , où je cherchais à mieux situer les miens, m’ont proposé chemin faisant quelques énigmes, et permis d’entrevoir quelques répon
4 r observer que le jeu devenait bien personnel, et proposa des bouts-rimés.