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er qu’on discute sur le mérite propre des mesures
proposées
et non pas, comme on ferait en France, sur leurs incidences partisane
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lorsqu’il déclare, du haut de la chaire, qu’il se
propose
d’expliquer la doctrine chrétienne en se basant sur les documents ori
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ni que ses doctrines soient enseignées. Mais il a
proposé
aux Suisses la forme de religion qui convenait le mieux au tempéramen
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lus de scepticisme et de réticences lorsqu’on lui
propose
les plans d’une fédération de dimensions continentales. Le paradoxe,