1 1962, Les Chances de l’Europe. Avertissement
1 tés et ouverts au public. Le thème m’en avait été proposé par le professeur Éric Martin, recteur de l’Université, auquel je dis
2 érilleux » dont parlent les romans bretons, il me proposait une épreuve d’une séduisante difficulté. Présenter en quelques quarts
2 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
3 la France le même chiffre de population que celui proposé par Vauban… à la fin du règne de Louis XIV ». 6. La population de la
3 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
4 r adhésion enthousiaste aux différentes solutions proposées . L’idée d’unir ou de fédérer l’Europe n’est pas née d’hier. Elle remo
5 ad, devenu roi de Bohême, reprend le flambeau. Il propose aux princes chrétiens et au pape un Traité d’alliance qui est, en vér
6 ste et moderne, on le voit, qu’un projet qui sera proposé cinq-cents ans plus tard, exactement, sous le nom d’Europe des patrie
7 rincipales, dictées par l’examen des faits : tous proposent un Tribunal d’arbitrage supérieur aux États — nous dirions supranatio
8 t, le sens pratique et le souci de l’économie. Il propose lui aussi, comme Crucé, que l’on enseigne à la jeunesse « la mécaniqu
9 — le canal de Suez sera fait par ses disciples — propose lui aussi dans son projet d’Organisation de la société européenne 34,
10 Deux ans plus tard, Robert Schuman et Jean Monnet proposent et font accepter la Communauté européenne du Charbon et de l’Acier, o
11 ions, maisons de l’Europe et fondations48, qui se proposent tous et toutes de réveiller et d’entretenir le sentiment de notre com
12 l’Angleterre ne sera pas membre de l’Union qu’il propose  : « … de ce travail urgent, la France et l’Allemagne doivent prendre